Répertoire toxicologiqueFiche complète
Numéro CAS : 127-19-5
Formule moléculaire brute : C4H9NO
Noms français :
Noms anglais :
Le N,N-diméthylacétamide est un excellent solvant pour beaucoup de résines et de polymères, en particulier pour la production de fibres ou de films. Il peut aussi être utilisé en tant que solvant de recristallisation.
Mise à jour : 2024-04-29
Le N,N-diméthylacétamide est un liquide huileux incolore. Il a une faible odeur ammoniaquée et poissonneuse.
En milieu de travail l'exposition au N,N-diméthylacétamide se fait principalement par les vapeurs ou par contact avec le liquide.
Exposition aux vapeurs:L'odeur ammoniaquée et poissonneuse du N,N-diméthylacétamide peut être détectée à partir de 47 ppm. Cette valeur est plus élevée que la VEMP (10 ppm) et près de six fois moindre que la valeur de DIVS (300 ppm). L'odeur ne peut donc pas servir de signe d'avertissement à une exposition dangereuse. Cependant, l'utilisation d'un instrument de mesure permet d'identifier le produit et d'en quantifier la concentration.La volatilité de ce produit est faible (tension de vapeur = 1,5 mm de Hg à 20 °C, plus de 10 fois inférieure à celle de l'eau), donc il s'évapore lentement. Toutefois, sa concentration à saturation (2000 ppm à 20 °C) est de 200 fois la VEMP et plus de 6 fois la DIVS. En conséquence, lors d'une fuite ou d'un déversement, la concentration en vapeur de N,N-diméthylacétamide dans l'air risque de dépasser la VEMP et la DIVS.
Exposition au liquide:À cause de sa faible volatilité, ce produit s'évapore lentement et donc peut rester sur une surface assez longtemps.
En cas de contact, ce produit est absorbé par la peau et faiblement irritant. En raison de sa miscibilité dans l'eau, un rinçage à l'eau devrait permettre l'élimination du produit.
Mise à jour : 2019-01-21
Mise à jour : 1994-05-15
InflammabilitéCe produit est inflammable dans les conditions suivantes:Peut s'enflammer s'il est chauffé modérément et en présence d'une source d'ignition.
Informations supplémentaires: Si chauffé fortement, les vapeurs peuvent s'enflammer.
ExplosibilitéInformations supplémentaires: Si chauffé fortement, les vapeurs peuvent exploser.
Moyens d'extinctiondioxyde de carbone, poudre chimique sèche, eau pulvérisée, mousse d'alcool
Informations supplémentaires: Ne pas utiliser de jets d'eau.
Techniques spécialesPorter un appareil respiratoire autonome muni d'un masque facial complet et des vêtements protecteurs. Refroidir à grande eau les contenants exposés, même longtemps après l'extinction du feu. Déplacer les contenants du lieu d'incendie s'il n'y a pas de danger. Les vapeurs peuvent causer un retour de flamme.
Monoxyde de carbone, dioxyde de carbone, oxydes d'azote, ammoniac, diméthylamine.
Mise à jour : 2000-03-20
Présentement, l'IRSST n'a pas de méthode d'analyse pour ce contaminant.L'IRSST recommande la méthode 66 de OSHA.
Pour obtenir la description de cette méthode, consulter le «Guide d'échantillonnage des contaminants de l'air en milieu de travail» ou le site Web de l'IRSST à l'adresse suivante:
http://www.irsst.qc.ca/-RSST127-19-5.html
Paramètre biologique, indice d'exposition et moment de prélèvement:
Pour obtenir plus de détails, consulter le «Documentation of the threshold limit values and biological exposure indices de l'ACGIH» .
La Loi sur la santé et la sécurité du travail vise l'élimination des dangers à la source. Lorsque des mesures d'ingénierie et les modifications de méthode de travail ne suffisent pas à réduire l'exposition à cette substance, le port d’équipement de protection individuelle peut s'avérer nécessaire. Ces équipements de protection doivent être conformes à la réglementation.
Voies respiratoiresPorter un appareil de protection respiratoire si la concentration dans le milieu de travail est supérieure à la VEMP (10 ppm ou 36 mg/m³).
PeauPorter un appareil de protection de la peau. La sélection d'un équipement de protection de la peau dépend de la nature du travail à effectuer.
YeuxPorter un appareil de protection des yeux s'il y a risque d'éclaboussures. La sélection d'un protecteur oculaire dépend de la nature du travail à effectuer et, s'il y a lieu, du type d'appareil de protection respiratoire utilisé.
Les équipements de protection respiratoire doivent être choisis, ajustés, entretenus et inspectés conformément à la réglementation.NIOSH recommande les appareils de protection respiratoire suivants selon les concentrations dans l'air :
StabilitéCe produit est stable.
IncompatibilitéCe produit est incompatible avec ces substances: Les agents oxydants forts.
Produits de décompositionDécomposition thermique (à plus de 350 degrés Celsius): oxydes de carbone, oxydes d'azote, ammoniac, diméthylamine.
Mise à jour : 2015-04-09
L'onglet Réglementation informe des particularités règlementaires de ce produit dangereux. La manipulation doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tel que le RSST (notamment les sections VII et X), le RSSM et le CSTC.Pour en savoir plus.
Porter un appareil de protection des yeux. Éviter tout contact avec la peau. Ventiler adéquatement sinon porter un appareil respiratoire approprié. Ne pas fumer, ne pas boire ou manger pendant l'utilisation. Manipuler à l'écart de toute source d'ignition.
L'onglet Réglementation informe des particularités règlementaires de ce produit dangereux. L'entreposage doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tel que le RSST (notamment les sections VII et X), le RSSM et le CSTC. Selon la situation, le chapitre Bâtiment du Code de sécurité et le CNPI peuvent également s'appliquer. Pour en savoir plus.
Conserver dans un récipient hermétique, à l'abri des matières oxydantes. Conserver à l'écart de toute source de chaleur et d'ignition. Conserver dans un endroit frais, sec et bien ventilé. Informations supplémentaires : attaque certains types de plastique, de caoutchouc ou de revêtement.
Mise à jour : 1996-01-23
Éliminer toutes les sources d'ignition.Absorber avec du papier, du sable ou de la sciure de bois. Mettre dans un contenant hermétique.
Incinération extérieure au milieu de travail.Consulter le bureau régional du ministère de l'environnement.
Mise à jour : 2019-01-30
Ce produit est absorbé par les voies respiratoires, la peau et les voies digestives.
Ce produit est irritant pour les yeux et faiblement irritant pour la peau.
Mise à jour : 2016-05-11
Des travailleurs exposés à des concentrations de 11 à 35 ppm ont rapporté des étourdissements, de la léthargie et des faiblesses.
Dans le cadre de l'utilisation du produit comme solvant de médicaments, l'ingestion de doses de 400 mg/kg pendant 3 à 4 jours a provoqué des troubles neuropsychiques (dépression, léthargie, confusion mentale et désorientation) chez des volontaires. Dans certains cas, des hallucinations et des troubles de la perception ont été rapportés.
Plusieurs études chez des travailleurs ont rapporté des effets hépatiques. Chez des travailleurs suite à des expositions répétées à des doses de 20 à 25 ppm, on a rapporté des cas de jaunisse.
Lors d'une étude chez le rat par inhalation (288 ppm, 6 heures/ jour, pendant 14 jours), il y a eu diminution du nombre de leucocytes, apparition d'une hypertrophie et d'une nécrose hépatique. Lors d'une étude par inhalation chez la souris (30 à 700 ppm, 6 heures/ jour et pendant 10 jours), on a rapporté de l'anémie, une nécrose et une hypertrophie hépatiques, de l'atrophie et de la nécrose des organes lymphoïdes ainsi que de l'hypoplasie de la moelle osseuse.
Aucune donnée pertinente concernant la sensibilisation respiratoire et cutanée n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Une étude de sensibilisation cutanée chez le cobaye a donné des résultats négatifs.
Développement prénatal
Études chez l'animalThiersch (1971) a effectué une étude par voie cutanée chez la rate (pureté non mentionnée; doses non rapportées pendant les jours 7 à 14 ou 11 à 18 de la gestation). Aucun effet n'est rapporté chez les petits des mères exposées. Cette étude est inappropriée, en raison de nombreux manques méthodologiques (aucun groupe contrôle, doses non rapportées, nombre d'animaux non rapporté, etc.)
Stula (1973), cité dans SIDS (2001), a effectué une étude par voie cutanée chez la rate (pureté non mentionnée; 600, 1 200, 2 400 et 4 800 mg/kg, aux jours 9, 10 et 11 ou aux jours 11 et 12 ou aux jours 12 et 13 de la gestation). Il n'y a pas eu de toxicité maternelle ou foetale à 600 mg/kg. À 1 200 mg/kg, il y a eu de la toxicité maternelle (non décrite), une augmentation du taux de résorption et 3 foetus malformés. Une encéphalocèle a été observée chez 3/34 foetus à 2 400 mg/kg. Dans cette même étude, des lapins ont été traités de façon similaire avec une dose de 200 mg/kg. Aucun effet embryotoxique ou tératogène n'a été observé. Cette étude est considérée inappropriée par SIDS, car les données sont mal rapportées et le nombre d'animaux utilisé est trop faible.
La compagnie Mosanto a effectué une étude (1973), cité dans SIDS (2001), par voie cutanée chez le lapin (pureté non spécifiée; 125, 250 ou 500 mg/kg, pendant les jours 6 à 18 de la gestation). Il n'y a pas eu de toxicité maternelle ou d'effet sur le nombre de résorption ou de foetus vivants. À la plus forte dose, un foetus montrait une déviation du sternum.
Stula et Krauss (1977) ont effectué une étude par voie cutanée chez le rat et le lapin (pureté >98%; 0, 600, 1 200 ou 2 400 mg/kg aux jours 9 ou 10 et 11 ou 11 et 12 ou 12 et 13 de la gestation chez le rat et 0 ou 200 mg/kg/jour pendant les jours 8 à 16 de la gestation chez le lapin). Chez le rat, aucune toxicité maternelle n'a été observée. Il y a eu une augmentation marquée de l'incidence de la mortalité embryonnaire à toutes les doses testées et un effet tératogène (encéphalocèle) chez les petits des mères exposées à 2 400 mg/kg aux jours 10 et 11 de la gestation. La significativité de ces effets n'est pas rapportée. L'application de 200 mg/kg/jours pour les jours 8 à 16 de la gestation n'a pas causé d'embryotoxicité ou d'effet tératogène chez le lapin. .
Merkle et Zeller (1980), cités dans SIDS (2001), ont effectué une étude par gavage chez le lapin (pureté non mentionnée; 0, 94, 280 ou 470 mg/kg/jour, pendant les jours 6 à 18 de la gestation). À 470 mg/kg/jour, de la douleur et des tremblements ont été observés chez les femelles. Deux d'entre elles sont décédées ainsi que tous les foetus. Parmi ceux-ci, il y avait quatre cas de fente palatine. À 280 mg/kg/jour, il y a eu une augmentation non significative de la perte implantatoire et des malformations foetales. Aucun effet développemental n'a été observé à 94 mg/kg/jour. À 280 et à 94 mg/kg/jour, il y a eu diminution significative du gain de poids et de la consommation de nourriture chez les femelles exposées.
Solomon et al. (1984) ont effectué une étude pilote par inhalation chez la rate (pureté 99.9%; 0, 100, 288 ou 622 ppm, 6 heures/jour, pendant les jours 6 à 15 de la gestation). À 622 ppm, toutes les femelles ont perdu du poids et il y a eu un seul foetus vivant. Une diminution du gain de poids corporel a été observée à 288 ppm. Aucun autre effet n'a été observé.
Solomon et al., (1984) ont ensuite effectué une étude par inhalation chez la rate (pureté 99.9%; 0, 32, 100 ou 281 ppm 6 heures/jour pendant les jours 6 à 15 de la gestation). Une diminution significative du poids foetal et du gain de poids maternel ont été observées à 281 ppm. Ces effets n'ont pas été observés à 100 et 32 ppm. L'incidence de malformation était similaire entre tous les groupes exposés et le groupe contrôle.
Johannsen et al. (1987) ont effectué une étude par gavage chez la rate (pureté 99,72%; 0, 65, 160 ou 400 mg/kg/jour, pendant les jours 6 à 19 de la gestation). Il y a eu diminution significative du gain de poids corporel chez les femelles exposées à 400 mg/kg/jour. Cet effet n'était pas significatif et léger chez les femelles exposées à 160 mg/kg/jour, alors qu'il n'a pas été observé à 65 mg/kg/jour. Aucun autre signe de toxicité maternelle n'a été observé. À 400 mg/kg/jour, il y au eu une augmentation significative, du nombre de pertes post implantation. À cette dose, il y a aussi eu une diminution significative du poids foetal et une augmentation significative du nombre de foetus ayant des malformations. La fréquence d'anomalies du système cardiovasculaire était anormalement élevée (33 foetus/18 portées), de même que celle des variations squelettiques. À 65 mg/kg/jour, il y a eu une augmentation du nombre de pertes post implantation. Cette effet n'est pas considéré être dû au traitement, car il n'est pas significatif et il n'est pas observé à 160 mg/kg/jour. Une diminution non significative du poids foetal est observée à 160 mg/kg/jour. À cette dose, aucune malformation n'a été observée. Les anomalies trouvées chez les foetus du groupe contrôle et des mères exposées à 65 mg/kg/jour avaient une fréquence comparable à ce qui est normalement attendu dans la littérature. Cette étude est considérée inappropriée en raison d'une infection virale qui a atteint tous les groupes d'animaux de l'étude. Ceci pourrait avoir affecté les résultats et compromis l'étude.
La compagnie BASF a effectué une étude (1989), cité dans SIDS (2001), par inhalation chez le lapin (pureté non mentionnée; 57, 200 ou 570 ppm, 6 heures/jour, pendant les jours 7 à 19 de la gestation). Aucune toxicité maternelle n'a été observée. Une réduction significative de l'ossification a été observée à la plus forte dose. Il y a aussi eu une augmentation non significative des malformations cardiaques et vasculaires à cette même dose.
Solomon et al. (1991) ont effectué une étude par inhalation chez la rate (pureté 99.9%; 0, 30, 100 ou 282 ppm, 6 heures/jour, pendant les jours 6 à 15 de la gestation). Une réduction significative du gain de poids corporel a été observée chez les femelles exposées à 282 ppm. Cet effet n'a pas été observé à 100 et 32 ppm. Aucun autre signe clinique ou changement de comportement n'a été observé chez les femelles exposées. Une diminution significative du poids foetal a été observée à 282 ppm. À cette dose, aucun effet significatif n'a été observé concernant l'incidence de malformations (viscérales ou squelettiques). Aucun effet foetal n'a été observé à 100 ppm.
La compagnie Du Pont a effectué une étude (1997), cité dans SIDS (2001), par gavage chez la rate (pureté non mentionnée; 0, 20, 65, 150 ou 400 mg/kg/jour, pendant les jours 7 à 21 de la gestation). Une toxicité maternelle marquée (diminution significative du gain de poids corporel et de la consommation de nourriture) a été observée chez les mères exposées à 400 mg/kg/jour. Le gain de poids corporel est légèrement, mais significativement, réduit chez les mères à 150 mg/kg/jour. Cet effet n'a pas été observé à 65 mg/kg/jour et moins. Il y a eu une augmentation significative du nombre de résorptions et une diminution de la grosseur des portées à 400 mg/kg/jour. Il y a aussi eu une augmentation significative du nombre de foetus malformés (au niveau viscéral et squelettique) dans ce groupe. La majorité des malformations ont été observées au niveau de la tête, du système cardiaque et du système squelettique. À 150 mg/kg/jour, il y a eu une réduction significative du poids foetal et quelques malformations ont été observées. Aucun effet foetal n'a été observé à 65 mg/kg/jour et moins.
Klimisch et al., (2000) ont effectué une étude par inhalation chez le lapin (pureté > 99,9%; 0, 0,2, 0,7 ou 2,0 mg/L, 6 heures par jour, pendant les jours 7 à 19 de la gestation). Aucun effet significatif n'a été observé sur le poids corporel ou le gain de poids corporel des femelles exposées. Une diminution significative du poids foetal a été observée à partir de 0,2 m/L. Aucun effet n'a été observé concernant le nombre total d'implants, le nombre d'implant mort et de foetus vivants, ou les valeurs de perte implantatoire. À 2,0 mg/L, le nombre de foetus ayant des variations au niveau des tissus mous de la carotide est significativement augmenté. Cependant, cette variation est fréquemment observée chez la souche de lapin utilisée pour cette étude. À cette même dose, le nombre de foetus ayant des variations squelettiques était significativement augmenté.
Okuda et al. (2006) ont effectué une étude par inhalation chez la rate (pureté > 99,9%; 0, 100, 300, 450 ou 600 ppm, 6 heures/jour, pendant les jours 6 à 19 de la gestation). Il y a eu présence de toxicité maternelle (augmentation significative du poids relatif du foie avec oedème des hépatocytes centrilobulaires sans nécrose) à partir de 300 ppm. À 450 et 600 ppm, une diminution significative du gain de poids corporel est aussi observée. Aucun autre signe clinique n'a été observé chez les femelles exposées. Une diminution significative du poids foetal est observée à partir de 300 ppm. Le nombre de foetus mâles, mais pas celui de foetus femelles, vivants est significativement réduit à 600 ppm. Le nombre de malformations viscérales et le nombre de malformations squelettiques étaient significativement augmentés chez les foetus des groupes dont les mères étaient exposées à 450 ppm et plus.
Mise à jour : 1998-12-09
Mise à jour : 2020-02-25
Évaluation de la cancérogénicité par des organismes officiels
Le CIRC (2020) considère que le N,N-diméthylacétamide est peut-être cancérogène pour l'homme (groupe 2B).
L'ACGIH (2018) considère que le N,N-diméthylacétamide est un cancérogène confirmé chez l'animal mais de pertinence inconnue pour l'humain (groupe A3).
DL50
CL50
InhalationAppeler le Centre antipoison ou un médecin en cas de malaise. Amener la personne dans un endroit aéré. Si la personne ne respire pas, lui donner la respiration artificielle. Éviter de donner la respiration bouche à bouche à moins d’utiliser un dispositif de protection buccale (à cause du danger de contamination pour la personne qui administre les premiers secours).
Contact avec les yeuxRincer abondamment les yeux avec de l’eau pendant au moins 20 minutes. Enlever les lentilles cornéennes s’il est possible de le faire facilement. Si l’irritation persiste, consulter un médecin.
Contact avec la peauLaver la peau avec de l'eau et du savon.
IngestionRincer la bouche avec de l’eau. Appeler le Centre antipoison ou un médecin en cas de malaise.
Modification à la suite de la révision du règlement, publiée dans la Gazette officielle du Québec du 28 février 2024 (156e année, no. 9) : ajout de la notation C3. La valeur d'exposition moyenne pondérée reste inchangée.
Danger
Liquide combustible (H227) Toxique par inhalation (H331) Provoque une sévère irritation des yeux (H319) Susceptible de provoquer le cancer (H351) Susceptible de nuire à la fertilité ou au foetus (H361) Peut provoquer la somnolence ou des vertiges (H336) Risque présumé d’effets graves pour les organes à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée (H373)
Divulgation des ingrédients
Autres sources d'information
La cote entre [ ] provient de la banque Information SST du Centre de documentation de la CNESST.