Répertoire toxicologiqueFiche complète
Numéro CAS : 123-86-4
Formule moléculaire brute : C6H12O2
Noms français :
Noms anglais :
L'acétate de butyle normal est utilisé :
L'acétate de butyle normal existe naturellement dans certains fruits tels que la pomme et la banane.
Mise à jour : 2021-09-30
L'acétate de butyle normal est un liquide incolore. Il dégage une odeur fruitée. Cette odeur est agréable à faible concentration mais devient désagréable à plus forte concentration.
L'exposition à l'acétate de butyle normal en milieu de travail se fait par les vapeurs ou par contact avec le liquide.
Exposition aux vapeurs :
L'odeur de l'acétate de butyle normal peut être détectée à partir de 0,39 ppm. Cette valeur est inférieure à la VEMP (50 ppm), à la VECD (150 ppm) et à la DIVS (1 700 ppm). L'odeur pourrait donc être un signe d'avertissement à une exposition potentiellement dangereuse. Cependant, elle ne demeure qu'un indicateur de danger. Seule l'utilisation d'un instrument de mesure permet d'identifier le produit et d'en quantifier la concentration. En effet, la perception des odeurs demeure une donnée variable selon l'individu. Il a été démontré que plusieurs facteurs influencent la réponse olfactive chez l'homme, tels que l'état de vigilance, l'accoutumance, les conditions de température et d'humidité et les effets de masque par d'autres substances.
Ce produit a une faible volatilité (tension de vapeur = 9,0 mm de Hg ou 1,2 kPa à 20 °C, environ deux fois inférieure à celle de l'eau) donc il s'évapore lentement. Cependant, sa concentration à saturation est de 12 000 ppm à 20 °C. Elle est 240 fois supérieure à la VEMP, 80 fois supérieure à la VECD et 7 fois supérieure à la DIVS. En conséquence, lors d'une fuite ou d'un déversement, la concentration en vapeur d'acétate de butyle normal dans l'air risque de dépasser la VEMP, la VECD et la DIVS.
Exposition au liquide :
À cause de sa faible volatilité, l'acétate de butyle normal peut rester longtemps sur une surface. En cas de contact avec le liquide, ce produit est absorbé par la peau. Il est aussi faiblement irritant. En raison de sa faible solubilité en milieu aqueux, un rinçage abondant à l'eau devrait permettre l'élimination de l'acétate de butyle normal. L'utilisation de savon peut être nécessaire pour un nettoyage efficace.
Mise à jour : 2021-08-02
Mise à jour : 2004-05-04
InflammabilitéL'acétate de butyle normal est un liquide inflammable. Il s'enflamme facilement en présence de toute source d'ignition, y compris les étincelles et les décharges électrostatiques. Les vapeurs, plus lourdes que l'air, peuvent parcourir de longues distances jusqu'à une source d'ignition et provoquer un retour de flamme. Lors d'écoulement ou de brassage, l'acétate de butyle normal peut accumuler une charge électrostatique, produire une étincelle et conduire à un incendie.
ExplosibilitéLes vapeurs d'acétate de butyle normal forment un mélange explosif avec l'air.
Mise à jour : 2021-09-13
Moyens d'extinctionUtiliser du dioxyde de carbone, de la mousse, de la poudre chimique sèche ou de l'eau pulvérisée. Ne pas utiliser l'eau sous forme de jet pour éteindre l'incendie.
Le monoxyde de carbone et le dioxyde de carbone.
Se référer à la méthode d'analyse 77-1 de l'IRSST.
Pour obtenir la description de cette méthode, consulter le Guide d'échantillonnage des contaminants de l'air en milieu de travail ou le site Web de l'IRSST à l'adresse suivante:
http://www.irsst.qc.ca/-RSST123-86-4.html
La Loi sur la santé et la sécurité du travail vise l'élimination des dangers à la source. Lorsque des mesures d'ingénierie et les modifications de méthode de travail ne suffisent pas à réduire l'exposition à cette substance, le port d'équipement de protection individuelle peut s'avérer nécessaire. Ces équipements de protection doivent être conformes à la réglementation.
Voies respiratoiresPorter un appareil de protection respiratoire si la concentration dans le milieu de travail est supérieure à la VEMP (50 ppm) ou à la VECD (150 ppm).
PeauPorter un équipement de protection de la peau. La sélection de cet équipement dépend de la nature du travail à effectuer.
YeuxPorter un équipement de protection des yeux s'il y a risque d'éclaboussures. La sélection d'un protecteur oculaire dépend de la nature du travail à effectuer et, s'il y a lieu, du type d'appareil de protection respiratoire utilisé.
Les équipements de protection respiratoire doivent être choisis, ajustés, entretenus et inspectés conformément à la réglementation.
NIOSH recommande les appareils de protection respiratoire suivants selon les concentrations dans l'air :
PeauLes équipements de protection de la peau doivent être conformes à la réglementation.
Les gants suivants sont recommandés multicouches: polyéthylène/alcool polyvinylique d'éthylène/polyéthylène (PE/PVAL/PE) alcool de polyvinyle (PVAL)
Les gants suivants sont recommandés
YeuxLes équipements de protection des yeux et de la figure doivent être conformes à la réglementation.
Les protecteurs oculaires suivants sont recommandés des lunettes étanches à coques ou des lunettes étanches à monture sont recommandées lorsqu'il y a risque d' éclaboussures avec le liquide une visière (écran facial) peut être aussi recommandée lorsqu'il y a risque d'éclaboussures avec le liquide (par exemple lorsqu'il y a port de lunettes correctrices)
Les protecteurs oculaires suivants sont recommandés
StabilitéL'acétate de butyle normal est stable dans des conditions normales d'utilisation.
IncompatibilitéL'acétate de butyle normal peut réagir de façon violente avec les acides forts et les bases fortes, de même qu'avec les agents oxydants forts comme les nitrates. En présence d'eau ou d'humidité, il libère lentement de l'acide acétique qui peut corroder certains métaux, notamment le cuivre et ses alliages. Il peut attaquer plusieurs résines et matières plastiques, de même que le caoutchouc et certains revêtements.
Produits de décompositionEn présence d'eau ou d'humidité, l'acétate de butyle normal se décompose lentement en acide acétique et en alcool butylique.
IncompatibilitéL'acétate de butyle normal peut réagir de façon violente avec le tert-butoxyde de potassium.
Mise à jour : 2015-04-07
L'onglet Réglementation informe des particularités règlementaires de ce produit dangereux. La manipulation doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tel que le RSST (notamment les sections VII et X), le RSSM et le CSTC.Pour en savoir plus.
L'acétate de butyle normal est un produit inflammable : manipuler à l'écart des sources d'ignition, des flammes nues et des étincelles. L'appareillage doit être mis à la terre. Utiliser des outils qui ne provoqueront pas d'étincelle. Lors de son utilisation, éviter la formation de vapeurs ou de brouillards. En cas de ventilation insuffisante, porter un appareil de protection respiratoire approprié. Éviter le contact avec les yeux et le contact prolongé ou répété avec la peau. Ne pas manger ou boire pendant la manipulation de l'acétate de butyle normal. Manipuler de façon sécuritaire selon les méthodes standards et conformes avec le RSST, le NFPA-30 et le CNPI au besoin.
L'onglet Réglementation informe des particularités règlementaires de ce produit dangereux. L'entreposage doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tel que le RSST (notamment les sections VII et X), le RSSM et le CSTC. Selon la situation, le chapitre Bâtiment du Code de sécurité et le CNPI peuvent également s'appliquer. Pour en savoir plus.
Entreposer à l'écart de toute source de chaleur et d'ignition, dans un récipient hermétique placé dans un endroit frais, sec et bien ventilé, à l'abri des matières incompatibles telles que les matières oxydantes, les acides forts et les bases fortes. Entreposer selon les normes prescrites pour l'entreposage des liquides inflammables : NFPA-30, RSST et CNPI. Si l'entreposage s'effectue avec d'autres substances dangereuses, se référer aux normes d'entreposage et au tableau de ségrégation du CNPI. Les contenants doivent être mis à la terre.
En cas de fuite ou de déversement, contenir la fuite si l'on peut le faire sans risque. Éliminer toute source d'ignition et ventiler.Si nécessaire, réduire la concentration des vapeurs en arrosant avec de l'eau.Pour des fuites ou déversements accidentels mineurs, absorber avec du sable ou tout autre matériau absorbant non combustible. Mettre le tout dans un contenant hermétique pour qu'il puisse être traité ultérieurement.Déversement majeur : humecter d'eau et endiguer afin de l'éliminer ultérieurement
Ne pas déverser les résidus dans les égouts et ne pas jeter les absorbants contaminés aux ordures. Éliminer selon les dispositions prévues par les règlements municipaux, provinciaux et fédéraux. Si nécessaire, consulter le bureau régional du ministère de l'Environnement.
Mise à jour : 2004-05-05
L'acétate de butyle normal est absorbé par les voies respiratoires, la peau et les voies digestives.
Absorption
Distribution
Métabolisme
Excrétion
Demi-vie
Mise à jour : 2011-12-01
Ce produit est faiblement irritant pour les yeux et la peau.
Ses vapeurs causent une faible irritation des voies respiratoires supérieures à partir de 200 ppm.
Les premiers signes d'irritation des yeux apparaissent lorsque la concentration dans l'air est de 300 ppm tandis qu'une concentration de 3 300 ppm cause des larmoiements et une hyperémie de la conjonctive.
Suite au contact répété ou prolongé, ce produit exerce une action dégraissante sur la peau. Il peut causer des rougeurs, de la desquamation et des fissurations.
Mise à jour : 2011-09-22
L'exposition de 3 groupes de volontaires, n'ayant pas d'antécédent d'exposition professionnelle aux solvants, à différentes concentrations d'aérosols d'acétate de butyle normal (74, 147, 221 et 295 ppm; 15 et 295 ppm; 15 et 147 ppm) n'a pas permis de conclure à des effets significatifs sur le système nerveux central. Les deux premiers groupes ont été exposés pendant 20 minutes et le troisième pendant 4 heures. L'étude rapporte seulement des symptômes d'irritation des yeux et des voies respiratoires.
Une étude chez des souris rapporte des effets sur le système nerveux central (diminution de l'activité motrice et diminution de la performance à certains tests) suite à l'inhalation de vapeurs à des concentrations supérieures à 1 000 ppm.
Des études épidémiologiques, réalisées chez des travailleurs de différents milieux (fabrication de peintures et de meubles), ne permettent pas d'évaluer les effets causés par l'exposition à l'acétate de butyle normal puisqu'ils ont été exposés silmultanément à d'autres solvants.
Une étude sur des rats exposés à des concentrations allant jusqu'à 3 000 ppm de vapeurs d'acétate de butyle normal n'a pas permis de démontrer une neurotoxicité cumulative. Les effets mentionnés sont une sédation passagère et une hypoactivité aux plus fortes concentrations.
Mise à jour : 2019-03-26
Aucune donnée concernant la sensibilisation respiratoire n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Ce produit n'est pas un sensibilisant cutané.
Sensibilisation cutanée
Chez l'humain, un seul cas de dermite allergique (eczéma) a été rapporté chez un travailleur de l'industrie pharmaceutique (purification de pénicilline) sans antécédent d'allergie. Le travailleur a eu un résultat positif lors d'un test épicutané d'acétate de butyle normal d'une concentration de 5 % dans l'huile d'olive.
Deux études de sensibilisation cutanée (test épicutané fermé (Patch test) chez des volontaires) ont donné des résultats négatifs.
Des études de sensibilisation cutanée (tests de tuméfaction de l'oreille chez la souris (MEST) et maximisation chez le cobaye (GPMT)) ont donné des résultats négatifs.
Mise à jour : 2010-07-28
Développement prénatal
Études chez l'humainUne étude épidémiologique effectuée dans l'industrie des semi-conducteurs rapporte une incidence accrue, non significative, d'avortements spontanés. Cependant, cette étude est inconcluante compte tenu que les travailleuses étaient exposées simultanément à d'autres contaminants. Études chez l'animalUne étude par inhalation a été effectuée chez le lapin (1 500 ppm; 7 h/j; du jour 1 ou 7 au jour 19 de la gestation) (Hackett et al., 1982). Une toxicité maternelle a été observée (augmentation significative du poids corporel, des poumons, des reins et de la rate). Le nombre de sites d'implantations par mère ainsi que le nombre de foetus vivants ou morts et de résorptions par portée, était normal. Chez les rejetons, aucun effet significatif n'a été observé en ce qui concerne le poids corporel, la longueur du corps, le ratio mâles/femelles et le nombre de rabougris. On rapporte une augmentation significative du nombre de rejetons dont la vésicule biliaire présentait un contenu anormal. Cependant, l'étude n'est pas adéquate à cause de l'exposition à une seule dose. Les mêmes chercheurs ont effectué une étude par inhalation chez le rat (1 500 ppm; 7 h/j; soit du 1er ou du 7e au 16e jour de gestation, soit 15 jours avant l'accouplement puis du 1er au 16e jour de gestation). Une toxicité maternelle a été observée (diminution significative de la consommation de nourriture, du poids corporel, des poumons, du foie et des reins). Le nombre de sites d'implantations par mère ainsi que le nombre de foetus vivants ou morts et de résorptions par portée, étaient normaux. Chez les rejetons, aucun effet significatif n'a été observé en ce qui concerne le ratio mâles/femelles et le nombre de rabougris. On rapporte une diminution significative du poids du placenta et du corps et de la longueur du corps ainsi qu'une augmentation significative d'anomalies squelettiques et de retards d'ossification. Cependant, l'étude n'est pas adéquate à cause de l'exposition à une seule dose. Saillenfait et al. (2007) ont effectué une étude par inhalation chez le rat (0, 500, 1 000, 2 000 et 3 000 ppm;6h/j; jours 6 à 20 de la gestation). De la toxicité maternelle a été observée (augmentation significative du gain de poids corporel à 2 000 et 3 000 ppm et diminution de la consommation de nourriture à 1 000 ppm et plus). Chez les rejetons, une diminution significative du poids a été observée à 3 000 ppm.
Études chez l'humainUne étude épidémiologique effectuée dans l'industrie des semi-conducteurs rapporte une incidence accrue, non significative, d'avortements spontanés. Cependant, cette étude est inconcluante compte tenu que les travailleuses étaient exposées simultanément à d'autres contaminants.
Études chez l'animalUne étude par inhalation a été effectuée chez le lapin (1 500 ppm; 7 h/j; du jour 1 ou 7 au jour 19 de la gestation) (Hackett et al., 1982). Une toxicité maternelle a été observée (augmentation significative du poids corporel, des poumons, des reins et de la rate). Le nombre de sites d'implantations par mère ainsi que le nombre de foetus vivants ou morts et de résorptions par portée, était normal. Chez les rejetons, aucun effet significatif n'a été observé en ce qui concerne le poids corporel, la longueur du corps, le ratio mâles/femelles et le nombre de rabougris. On rapporte une augmentation significative du nombre de rejetons dont la vésicule biliaire présentait un contenu anormal. Cependant, l'étude n'est pas adéquate à cause de l'exposition à une seule dose.
Les mêmes chercheurs ont effectué une étude par inhalation chez le rat (1 500 ppm; 7 h/j; soit du 1er ou du 7e au 16e jour de gestation, soit 15 jours avant l'accouplement puis du 1er au 16e jour de gestation). Une toxicité maternelle a été observée (diminution significative de la consommation de nourriture, du poids corporel, des poumons, du foie et des reins). Le nombre de sites d'implantations par mère ainsi que le nombre de foetus vivants ou morts et de résorptions par portée, étaient normaux. Chez les rejetons, aucun effet significatif n'a été observé en ce qui concerne le ratio mâles/femelles et le nombre de rabougris. On rapporte une diminution significative du poids du placenta et du corps et de la longueur du corps ainsi qu'une augmentation significative d'anomalies squelettiques et de retards d'ossification. Cependant, l'étude n'est pas adéquate à cause de l'exposition à une seule dose.
Saillenfait et al. (2007) ont effectué une étude par inhalation chez le rat (0, 500, 1 000, 2 000 et 3 000 ppm;6h/j; jours 6 à 20 de la gestation). De la toxicité maternelle a été observée (augmentation significative du gain de poids corporel à 2 000 et 3 000 ppm et diminution de la consommation de nourriture à 1 000 ppm et plus). Chez les rejetons, une diminution significative du poids a été observée à 3 000 ppm.
Développement postnatalAucune donnée concernant des effets sur le développement postnatal n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Une étude épidémiologique, chez des travailleurs de l'industrie de la peinture, ne rapporte aucune augmentation de l'incidence du cancer ou de la mortalité causée par le cancer. Dans cette étude, les travailleurs étaient exposés simultanément à plusieurs solvants dont l'acétate de butyle normal.
Effet mutagène héréditaire / sur cellules germinales
Aucune donnée concernant un effet mutagène héréditaire / sur cellules germinales n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Effet sur cellules somatiques
Études chez l'humainLes résultats de tests d'aberrations chromosomiques et d'échanges de chromatides-soeurs dans les lymphocytes de travailleurs exposés à plusieurs solvants, dont l'acétate de butyle normal (7 à 1 675 mg/m3), se sont avérés négatifs. Études chez l'animalAucune donnée concernant un effet mutagène sur cellules somatiques n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Études chez l'humainLes résultats de tests d'aberrations chromosomiques et d'échanges de chromatides-soeurs dans les lymphocytes de travailleurs exposés à plusieurs solvants, dont l'acétate de butyle normal (7 à 1 675 mg/m3), se sont avérés négatifs.
Études chez l'animalAucune donnée concernant un effet mutagène sur cellules somatiques n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Études in vitroUne étude mesurant les aberrations chromosomiques dans des fibroblastes pulmonaires de hamster chinois a donné des résultats négatifs.
Mise à jour : 2019-10-01
DL50
CL50
InhalationEn cas d’inhalation, amener la personne dans un endroit aéré. Appeler le Centre antipoison ou un médecin en cas de malaise. Si la personne ne respire pas, lui donner la respiration artificielle. Éviter de donner la respiration bouche à bouche à moins d’utiliser un dispositif de protection buccale (à cause du danger de contamination pour la personne qui administre les premiers secours).
Contact avec les yeuxRincer abondamment les yeux avec de l’eau pendant 5 minutes ou jusqu’à ce que le produit soit éliminé. Enlever les lentilles cornéennes s’il est possible de le faire facilement. Si l’irritation persiste, consulter un médecin.
Contact avec la peauRetirer immédiatement les vêtements contaminés. Rincer la peau avec de l’eau. Mouiller abondamment les vêtements contaminés.
IngestionRincer la bouche avec de l’eau. Appeler le Centre antipoison ou un médecin en cas de malaise.
Mise à jour : 2021-05-27
Danger
Liquide et vapeurs très inflammables (H225)
Divulgation des ingrédients
Mise à jour : 2004-11-30
Classification
Numéro UN : UN1123
Autres sources d'information
La cote entre [ ] provient de la banque Information SST du Centre de documentation de la CNESST.