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La présence dioxyde de soufre a été rapportée lors d'une étude destinée à identifier, en milieu urbain, les contaminants pouvant se retrouver dans le lait. Cependant, aucune relation avec l'exposition professionnelle ne peut être établie (Pellizzari et al., 1982).
Études chez l'animal
Une étude mesurant les aberrations chromosomiques a été effectuée chez des souris exposées par inhalation (0, 7, 14, 28 et 56 mg/m³, 4h/j pendant 7 jours). Une augmentation significative de l'incidence des aberrations chromosomiques a été observée dans les cellules de la moelle osseuse des souris exposées à 14, 28 et 56 mg/m³ de dioxyde de soufre (Meng et al., 2002).
Une augmentation significative de l'incidence des micronoyaux a été observée à toutes les doses dans les cellules de la moelle osseuse de souris (0, 14, 28, 56 et 84 mg/m³, 4h/j pendant 7 jours) (Meng et al., 2002).
Le test de la comète a été effectué sur des cellules de souris exposées par inhalation (0, 14, 28, 56 et 112 mg/m³, 6h/j pendant 7 jours). Une augmentation significative des dommages à l'ADN a été démontrée à toutes les doses, dans tous les types de cellules étudiées, soit les cellules du cerveau, des poumons, du foie, de la rate, des reins, des intestins, des testicules, ainsi que dans les lymphocytes (Meng et al., 2005).
Quelques tests ont été effectués par des voies non usuelles en milieu de travail.
Études in vitro
Des études effectuées avec du dioxyde de soufre, des sulfites ou des bisulfites (métabolites du dioxyde de soufre) ont donné des résultats mitigés.