Répertoire toxicologiqueFiche complète
Numéro CAS : 14464-46-1
Formule moléculaire brute : O2Si
Noms français :
Noms anglais :
La cristobalite est une des formes de silice cristalline. Elle est employée comme matière première ou est présente avec d'autres formes de silice cristalline lors de la fabrication :
Elle est aussi utilisée :
Sources d'émissions
Outre la présence de cristobalite lors de son utilisation comme matière première, on compte quelques sources d'exposition en milieu de travail. Les principaux secteurs d'activité exposant les travailleurs à l'inhalation de poussières de silice cristalline sous forme de cristobalite sont :
Mise à jour : 2024-04-25
Solide sous forme de cristaux incolores, blancs ou jaunâtres, ne possédant pas d'odeur.
L'exposition à la silice cristalline sous forme de cristobalite en milieu de travail se fait principalement par les poudres ou les poussières générées par exemple, lors d'opération de sciage du ciment, de sablage au jet ou de transvidage de sacs ou de récipients pouvant en contenir comme matière principale ou de résidu.
Exposition aux poudres ou poussières
La silice cristalline cristobalite est inodore. Seule l'utilisation d'un instrument de mesure permet d'identifier le produit et d'en quantifier la concentration.
La VEMP de 0,05 mg/m3 exprimée en poussières respirables ou la DIVS de 25 mg/m³ peuvent être atteintes dans l'air en milieu de travail si des produits contenant de la silice cristalline cristobalite sont utilisés et que les manipulations génèrent un nuage de poudres ou de poussières, ou lorsque des fumées sont produites.
En raison de son insolubilité en milieu aqueux, un rinçage abondant à l'eau savonneuse devrait permettre l'élimination de la silice cristalline cristobalite en cas de contact avec la peau.
Mise à jour : 2009-02-03
La silice cristalline sous forme de cristobalite est ininflammable et non explosible.
Pour combattre un incendie, utiliser tout moyen d'extinction convenant aux matières environnantes.
Se référer aux méthodes d'analyse 56-3 et 206-2 de l'IRSST.
Pour obtenir la description de ces méthodes, consulter le Guide d'échantillonnage des contaminants de l'air en milieu de travail ou le site Web de l'IRSST à l'adresse suivante :
http://www.irsst.qc.ca/-RSST14464-46-1.html
La Loi sur la santé et la sécurité du travail vise l'élimination des dangers à la source. Lorsque des mesures d'ingénierie et les modifications de méthode de travail ne suffisent pas à réduire l'exposition à cette substance, le port d'équipement de protection individuelle peut s'avérer nécessaire. Ces équipements de protection doivent être conformes à la réglementation.
Voies respiratoiresPorter un appareil de protection respiratoire si la concentration dans le milieu de travail est supérieure à la VEMP (0,05 mg/m³).
PeauPorter un équipement de protection de la peau. La sélection de cet équipement dépend de la nature du travail à effectuer.
YeuxPorter un équipement de protection des yeux s'il y a risque d'éclaboussures. La sélection de cet équipement dépend de la nature du travail à effectuer et, s'il y a lieu, du type d'appareil de protection respiratoire utilisé.
StabilitéLa silice cristalline sous forme de cristobalite est un produit stable.
Incompatibilité
Mise à jour : 2016-11-22
L'exposition à ce produit requiert de la formation et de l'information préalables. Prendre connaissance des renseignements inscrits sur l'étiquette et la fiche de données de sécurité avant de manipuler ce produit.
La manipulation d'un produit doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tels que le RSST, le RSSM et le CSTC. Pour en savoir plus.
La mise en place de mesures de prévention des dangers liés à la manipulation des produits utilisés en milieu de travail doit se faire selon une démarche hiérarchisée comprenant les étapes suivantes : l'élimination à la source, le remplacement, le contrôle technique, la sensibilisation à la présence du risque (alarme sonore ou visuelle), les mesures administratives et les équipements de protection individuelle. Dans une perspective de prévention, la CNESST a développé un outil pratique qui vise à aider les milieux de travail à identifier, corriger et contrôler les risques pouvant affecter la santé et la sécurité des travailleurs.
Consultez aussi la section "Commentaires", ci-après.
L'onglet Réglementation informe des particularités règlementaires de ce produit dangereux. L'entreposage doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tel que le RSST (notamment les sections VII et X), le RSSM et le CSTC. Selon la situation, le chapitre Bâtiment du Code de sécurité et le CNPI peuvent également s'appliquer. Pour en savoir plus.
Limiter l'accès à la zone de déversement jusqu'à ce que le nettoyage soit terminé. S'assurer que le nettoyage ne soit effectué que par du personnel qualifié portant des appareils de protection respiratoires appropriés. Ne jamais balayer la silice cristalline sèche; si possible, l'humecter afin de réduire la formation de poussière.
Voir les exigences réglementaires avant d'éliminer les déchets. Consulter le bureau régional du ministère de l'Environnement.
Mise à jour : 2011-08-12
PréventionLes mesures de prévention ont pour objectif de minimiser l'exposition des travailleurs à la silice cristalline sous forme de cristobalite; elles comprennent :
Équipement de protection des voies respiratoires
La Loi sur la santé et la sécurité du travail vise l'élimination des dangers à la source. Lorsque des mesures d'ingénierie et les modifications de méthode de travail ne suffisent pas à réduire l'exposition à cette substance, le port d'équipement de protection individuelle peut s'avérer nécessaire.
Porter un appareil de protection respiratoire si la concentration en silice cristalline sous forme de cristobalite dans le milieu de travail est supérieure à la VEMP (0,05 mg/m³ exprimée en poussières respirables).
Les équipements de protection respiratoire doivent être choisis, ajustés, entretenus et inspectés conformément à la réglementation. Des informations quant à la sélection des appareils de protection respiratoire exigés à l'article 45 du RSST sont disponibles dans la norme CSA Z94.4-93 ainsi que dans le Guide des appareils de protection respiratoire utilisés au Québec, publié par l'IRSST.
La norme CSA Z94.4-93 précise de n'utiliser que des respirateurs approuvés. De plus, elle fait mention que le type approprié de filtre doit être choisi en fonction de l'atmosphère et des conditions en cause.
Des exigences particulières sont requises pour les activités de décapage au jet d'abrasif et ne sont pas présentées ci-dessous.
Les principaux appareils de protection respiratoire minimalement requis selon le Guide des appareils de protection respiratoire utilisés au Québec, publié par l'IRSST (version 2002) et la norme CSA Z94.4-93 sont :
Jusqu'à 0,5 mg/m³ (10 fois la VEMP)
Jusqu'à 1,25 mg/m³ (25 fois la VEMP)
Jusqu'à 2,5 mg/m³ (50 fois la VEMP)
Jusqu'à 5 mg/m³ (100 fois la VEMP)
Jusqu'à 25 mg/m³ (500 fois la VEMP, concentration de DIVS)
Il est à noter qu'aucun appareil de protection à épuration ne doit être utilisé dans des atmosphères de DIVS.
Certains organismes, tels que NIOSH, proposent des facteurs de protection caractéristiques (FPC) différents de ceux listés précédemment.
Les appareils de protection respiratoire recommandés par NIOSH, adaptés à la VEMP, sont les suivants :
Note : Les filtres N95, N99 et N100 doivent être utilisés sans présence d'huile, les filtres P95, P99, P100, R95, R99 et R100 peuvent l'être en présence d'huile
Les appareils requis pour une évacuation d'urgence et une entrée (planifiée ou d'urgence) dans une zone où la concentration est inconnue ou en situation de DIVS ne sont pas présentés dans ce document. Pour de plus amples renseignements sur les appareils requis dans ces situations, communiquer avec le Service du répertoire toxicologique.
Mise à jour : 2010-09-01
En milieu de travail, les poussières de silice cristalline sous forme de cristobalite ne sont pas absorbées. Suite à l'inhalation, elles se déposent dans les voies respiratoires d'où elles peuvent être éliminées ou encapsulées dans des nodules silicotiques. La cristobalite n'est pas absorbée par la voie digestive et par la peau.
Les données présentées proviennent principalement d'études concernant la silice cristalline sous forme de quartz :
Absorption
Distribution
Excrétion
Biopersistance
Mécanisme d'action
Des études récentes tendent à démontrer que les caractéristiques de la surface des particules de silice cristalline, telles l'hydrophilicité, la présence de radicaux réactifs ou d'impuretés, pourraient jouer un rôle important dans l'activité fibrogénique. Le contact intime entre les particules et des ions métalliques, par exemple, pourrait modifier la nature des sites à la surface et affecter la réponse biologique. De même, on a observé que la surface des particules fraîchement fracturées est plus réactive que celle des particules générées depuis plus longtemps. D'autres facteurs tels la taille des particules, leur micromorphologie, les défauts de la surface externe, l'origine de l'échantillon et le traitement thermique peuvent également jouer un rôle.
Le mode d'action n'est pas encore parfaitement élucidé. Cependant, il est généralement reconnu que les lésions pulmonaires induites par la silice cristalline sont modulées et déclenchées par le système immunitaire et ses médiateurs et que le processus d'inflammation alvéolaire (alvéolite chronique) joue un rôle important dans le développement de la silicose (réaction fibrotique).
Dans un premier temps, les particules de silice cristalline qui ont pénétré dans les alvéoles sont phagocytées par les macrophages dans le but de les éliminer des poumons. De nombreux macrophages peuvent être endommagés ou tués au cours de ce processus, entraînant la libération de divers médiateurs de l'inflammation. Cette étape constitue la phase inflammatoire alvéolaire ou alvéolite chronique.
Cette phase inflammatoire est suivie d'une phase de réparation des tissus au cours de laquelle les macrophages produisent des facteurs fibrogéniques qui induisent la prolifération de certains types de cellules dont les fibroblastes, entraînant la production d'un excès de collagène. Les nodules silicotiques commencent alors à se former.
Quand les macrophages alvéolaires contenant des particules de silice meurent, ils libèrent les particules de silice qu'ils contenaient qui peuvent alors être phagocytées par d'autres macrophages, induisant ainsi un cycle de dommages inflammatoires-réparation. Comme les particules de silice cristalline sont biopersistantes, ceci devient un phénomène chronique.
Mise à jour : 2016-11-28
Il est probable que les poussières de silice cristalline sous forme de cristobalite puissent causer l'irritation mécanique des yeux et des voies respiratoires.
Des études par inhalation et par instillation intratrachéale chez le rat ont montré que, tout comme le quartz et la tridymite, la cristobalite possède des propriétés inflammatoires et fibrogéniques au niveau du poumon.
La majorité des études publiées dans la littérature scientifique concernent des groupes de travailleurs exposés à la silice cristalline sous forme de quartz. Cependant, des données concernant l'industrie de la diatomite ont permis d'établir un lien entre la silicose et l'exposition à la cristobalite.
La silicose est une fibrose pulmonaire progressive et irréversible. Les premiers symptômes cliniques (toux, production de mucus, et essoufflement à l'effort) sont tardifs et ils sont souvent précédés par des manifestations radiologiques (nodules pulmonaires ou fibrose pulmonaire diffuse selon le cas). L'espérance de vie peut être réduite.
Trois formes de silicose peuvent être observées selon la durée et la concentration d'exposition : la silicose chronique, la silicose accélérée et la silicose aiguë.
Le tabagisme intensifie les symptômes respiratoires, mais ne semble pas influencer l'apparition ou la progression de la silicose.
La silicose peut être compliquée par le développement d'infection bactérienne comme la tuberculose. L'exposition aux poussières respirables de silice cristalline a aussi été associée à d'autres maladies pulmonaires obstructives incluant l'emphysème et la bronchite chronique. Des études indiquent que ces dernières seraient moins fréquentes chez les non-fumeurs.
La suite des informations se trouve dans la section commentaires.
Aucune donnée concernant la sensibilisation respiratoire et cutanée n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Pour causer un effet toxique sur le développement, un produit doit être absorbé, passer dans la circulation sanguine, se distribuer dans divers tissus de l'organisme (tels que le système reproducteur et le foetus) et y causer des changements nocifs. La silice cristalline sous frome de cristobalite n'étant pas absorbée dans l'organisme, l'exposition à ce produit ne causera pas d'effet sur le développement.
Pour causer un effet toxique sur la reproduction, un produit doit être absorbé, passer dans la circulation sanguine, se distribuer dans divers tissus de l'organisme (tels que le système reproducteur et le foetus) et y causer des changements nocifs. La silice cristalline sous forme de cristobalite n'étant pas absorbée dans l'organisme, l'exposition à ce produit ne causera pas d'effet sur la reproduction.
La silice cristalline sous forme de cristobalite ne se trouvera pas dans le lait maternel puisqu'elle n'est pas absorbée dans l'organisme.
Mise à jour : 2018-06-14
Évaluation de la cancérogénicité par des organismes officiels
Le CIRC (2012) a classifié la silice cristalline inhalée sous forme de quartz et de cristobalite, de source professionnelle, comme cancérogène pour l'homme (groupe 1). L'évaluation est basée sur les études en milieu de travail présentant des données quantitatives concernant l'exposition à la poussière de silice cristalline sous forme de quartz et cristobalite. Ces études ont permis d'établir un lien causal probant entre l'apparition du cancer du poumon et l'exposition. Dans son évaluation, le CIRC résume les résultats de 8 méta-analyses qui corroborent la relation exposition-réponse entre l'exposition à la silice cristalline et l'apparition du cancer du poumon.
Selon le CIRC (1997), la cancérogénicité peut dépendre des caractéristiques inhérentes aux particules de silice cristalline, de facteurs externes affectant leur activité biologique ou de la proportion des différentes formes. Cela peut également s'expliquer par la diversité des populations et des circonstances d'exposition étudiées. Certaines études ont montré un risque accru de cancer en fonction de l'exposition cumulative, la durée d'exposition, la présence radiologique de nodules silicotiques et, dans un cas, l'intensité d'un pic d'exposition. Les associations observées ne pouvaient s'expliquer par la présence de facteurs confondants ou autres biais.
MAK (2000, 2007) considère la silice cristalline (fraction respirable) sous forme de quartz, cristobalite, tridymite comme une substance qui cause le cancer chez l'homme (catégorie 1). Pour établir son évaluation, il a utilisé les études évaluées par le CIRC et d'autres qui lui semblaient particulièrement pertinentes. Ces études portaient surtout sur les travailleurs des carrières, de l'industrie de la transformation de la pierre et de l'industrie de la céramique. Ces types d'industrie sont ceux qui sont le moins susceptibles de comporter des facteurs confondants comme l'exposition simultanée à d'autres substances cancérogènes tels le radon, les hydrocarbures aromatiques polycycliques, les émissions de moteurs diésel et les fibres d'amiante. MAK rapporte que le risque relatif de cancer pulmonaire est plus élevé chez les personnes souffrant de silicose. Les études disponibles ne permettent pas de déterminer si l'exposition au quartz est une cause directe de la silicose et du cancer du poumon ou si elle est une cause directe de la silicose seulement. Il y a des preuves que l'incidence du cancer augmente avec l'exposition cumulative à la silice cristalline sous forme respirable.
NIOSH (2002, 2005) considère que la silice cristalline (poussières respirables) sous forme de quartz, cristobalite et tridymite est un cancérogène professionnel potentiel (Ca). L'organisme a conclu que la silicose augmente le risque de cancer, mais que les données sont moins claires en ce qui concerne la cancérogénicité de la silice cristalline (quartz et cristobalite) en absence de silicose. La méta-analyse des études épidémiologiques concernant l'exposition à la silice cristalline et le cancer indique un facteur de risque relatif de 1,3 pour les travailleurs exposés à la silice et un facteur de risque relatif de 2,2 à 2,8 pour les travailleurs silicotiques
Le NTP ( 2005) considère la silice cristalline (fraction respirable) comme un cancérogène reconnu chez l'homme. Leur évaluation est basée sur des données d'exposition à la silice cristalline, principalement sous forme de quartz, en milieu de travail. Selon eux, le lien entre le cancer et l'exposition à la silice cristalline est le plus fort dans les études chez les travailleurs oeuvrant dans les carrières, l'industrie du granit, de la céramique, de la poterie, des briques réfractaires et de la terre de diatomée. Le NTP précise que, dans ces études, le risque accru de cancer était associé à l'exposition au quartz et à la cristobalite, mais pas à la silice amorphe. Leur rapport indique un risque relatif global d'approximativement 1,3 à 1,5, le risque le plus élevé étant observé chez les travailleurs ayant subi l'exposition la plus élevée ou ayant une plus longue période de latence. La silicose est associée à un risque relatif de cancer plus élevé, soit 2,0 à 4,0.
L'ACGIH (2010) a attribué la désignation A2 (cancérogène suspecté chez l'homme) à la silice cristalline (masse particulaire respirable) au quartz et à la cristobalite en s'appuyant sur des études épidémiologiques qui démontrent que les concentrations de silice cristalline pouvant mener à la fibrose sont également associées à un risque de cancer accru.
Aucune donnée concernant la cristobalite n'a été trouvée dans la littérature scientifique. Cependant, plusieurs études concernant la silice cristalline sous forme de quartz ont été publiées. Les résultats de ces études ne permettent pas de faire une évaluation adéquate de l'effet mutagène. Vous pouvez consulter notre fiche de renseignements sur la Silice cristalline, quartz [14808-60-7] pour plus d'information.
Suite des effets chroniques:
Plusieurs études épidémiologiques rapportent un excès significatif de maladies auto-immunes telles que la sclérodermie systémique, l'arthrite rhumatoïde et le lupus érythémateux chez les travailleurs exposés à la silice cristalline.
De même, quelques études ont mis en évidence une association entre l'exposition à la silice cristalline et certaines maladies rénales ou des atteintes rénales subcliniques.
Maladie à déclaration obligatoire (MADO)La silicose fait partie de la liste des maladies, infections et intoxications à déclaration obligatoire selon la Loi sur la santé publique (L.R.Q., c. S-2.2) et ses règlements d'application.Vous pouvez consulter les pages Web suivantes pour obtenir de l'information à ce sujet : http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/santepub/mado.phphttp://publications.msss.gouv.qc.ca/acrobat/f/documentation/preventioncontrole/03-268-05.pdf
InhalationEn cas d’inhalation, amener la personne dans un endroit aéré.
Contact avec les yeuxRincer abondamment les yeux avec de l’eau pendant 5 minutes ou jusqu’à ce que le produit soit éliminé. Enlever les lentilles cornéennes s’il est possible de le faire facilement. Si l’irritation persiste, consulter un médecin.
Contact avec la peauLaver la peau avec de l'eau et du savon.
IngestionRincer la bouche avec de l’eau. Appeler le Centre antipoison ou un médecin en cas de malaise.
Danger
Peut provoquer le cancer (H350) Risque avéré d’effets graves pour les organes à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée (H372)
Divulgation des ingrédients
La cote entre [ ] provient de la banque Information SST du Centre de documentation de la CNESST.