Répertoire toxicologiqueFiche complète
Numéro CAS : 42978-66-5
L'information disponible sur cette substance est partielle. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec le Répertoire toxicologique.
Formule moléculaire brute : C15H24O6
Noms français :
Noms anglais :
Fabrication de plastiques
Mise à jour : 1987-04-15
Liquide ambre
Mise à jour : 2006-11-29
Mise à jour : 1994-05-15
InflammabilitéCe produit est inflammable dans les conditions suivantes:Peut s'enflammer s'il est chauffé fortement et en présence d'une source d'ignition.
Moyens d'extinctionInformations supplémentaires: Mousse, dioxyde de carbone, agents chimiques secs, eau pulvérisée.
Techniques spécialesPorter un appareil respiratoire autonome. Refroidir avec de l'eau pulvérisée les contenants exposés; ceux-ci peuvent se rompre durant un incendie.
Éviter tout contact avec la peau. Porter un appareil de protection des yeux et, en cas de ventilation insuffisante, un appareil respiratoire approprié.Ne pas manger et ne pas boire pendant l'utilisation.
Conserver dans un endroit frais et sombre, à l'écart de toute source d'ignition.Conserver à l'abri des matières oxydantes et des bases.
Absorber avec du papier, du sable ou de la sciure de bois. Mettre dans un contenant hermétique.
Consulter le bureau régional du ministère de l'environnement.
Mise à jour : 2006-12-06
Ce produit est un sensibilisant cutané.
Aucune donnée concernant la sensibilisation respiratoire n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Le TPGDA est utilisé dans les batteries de tests standards pour les acrylates. Sauf quelques exceptions, il donne rarement des réponses positives lors de ces tests.
Il y a seulement deux cas de sensibilisation cutanée rapportés pour le diacrylate de tripropylène glycol (TPGDA) en milieu de travail. Le premier cas est celui d'un travailleur qui fabriquait des pochoirs pour le transfert d'images sur les vêtements. Les encres utilisées contenaient entre autres, du TPGDA. Il a développé une dermite allergique qui a persisté pendant deux mois. Des tests cutanés fermés (patch) ont montré des réponses positives à des acrylates contenus dans les batteries de tests standards ainsi qu'au TPGDA. Il a déjà eu des problèmes d'eczéma durant son enfance. Le deuxième cas est celui d'une travailleuse dans une manufacture de disques durs pour ordinateurs. Elle devait imprimer les disques avec des encres séchées par rayonnement à l'ultraviolet. Elle a développé une dermite de contact allergique aiguë après quelques jours. Des tests cutanés fermés (patch) ont montré des réponses positives après 96 heures à plusieurs acrylates dont leTPGDA (contenu dans les encres). On ne connaît pas l'atopie de cette travailleuse.
Une étude effectuée chez le cochon d'Inde a montré des réponses positives chez 11 des 15 animaux testés suite à des tests de maximisation (GPMT).
Chez l'humain : possiblité de sensibilisation croisée avec le diacrylate de butanediol-1,4, le diacrylate de diéthylène glycol, le triacrylate de pentaérythritol, le diacrylate de triéthylène glycol, le diméthacrylate de triéthylène glycol, le méthacrylate de glycidyle et de bisphénol A et le diméthacrylate d'éthylène glycol. Chez l'animal : possibilité de sensibilisation croisée avec le diacrylate de tétraéthylène glycol et le diacrylate de néopentyle et de glycol.
Mise à jour : 2002-09-04
Andrews et Clary (1986) citent les résultats négatifs d'une étude non publiée de la compagnie Celanese. Mortensen (1992) mentionne également des résultats négatifs d'une étude. Cependant, les données sont incomplètes (espèce, voie, conditions d'administration, etc.) et ne permettent pas de faire une évaluation adéquate.
Mise à jour : 2006-12-05
DL50
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La cote entre [ ] provient de la banque Information SST du Centre de documentation de la CNESST.