Répertoire toxicologiqueRépertoire toxicologiqueFiche complète
CAS Number : 108-10-1
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Formule moléculaire brute : C6H12O
Noms français :
Noms anglais :
Les principales utilisations de la méthyl isobutyl cétone sont :
Ce produit est aussi présent naturellement dans plusieurs aliments (certains fruits, lait, fromage, pommes de terre cuites, certaines viandes, etc).
Mise à jour : 2021-08-02
Le méthyl isobutyl cétone est un liquide incolore. Il dégage une légère odeur de cétone.
L'exposition à la méthyl isobutyl cétone en milieu de travail se fait par les vapeurs ou par contact avec le liquide.
Exposition aux vapeurs :L'odeur de la méthyl isobutyl cétone peut être détectée à partir de 0,68 ppm. Cette valeur est nettement inférieure à la VEMP (20 ppm), à la VECD (75 ppm) et à la DIVS (500 ppm). L'odeur pourrait donc être un signe d'avertissement à une exposition potentiellement dangereuse. Cependant, elle ne demeure qu'un indicateur de danger. Seule l'utilisation d'un instrument de mesure permet d'identifier le produit et d'en quantifier la concentration. En effet, la perception des odeurs demeure une donnée variable selon l'individu. Il a été démontré que plusieurs facteurs influencent la réponse olfactive chez l'homme, tels que l'état de vigilance, l'accoutumance, les conditions de température et d'humidité et les effets de masque par d'autres substances.
Ce produit a une volatilité assez semblable à celle de l'eau (tension de vapeur = 15 mm de Hg ou 2,0 kPa à 20 °C). Sa concentration à saturation est de 20 000 ppm à 20 °C. Elle est 1 000 fois supérieure à la VEMP, environ 266 fois supérieure à la VECD et 40 fois supérieure à la DIVS. En conséquence, lors d'une fuite ou d'un déversement, une grande quantité de méthyl isobutyl cétone risque de s'évaporer et la concentration en vapeur dans l'air risque de dépasser la VEMP, la VECD et la DIVS.
Exposition au liquide :La méthyl isobutyl cétone a une volatilité semblable à celle de l'eau. Elle peut rester assez longtemps sur une surface. En cas de contact avec le liquide, ce produit est légèrement irritant pour la peau. Il peut aussi être absorbé. En raison de sa solubilité en milieu aqueux, un rinçage abondant à l'eau devrait permettre l'élimination de la méthyl isobutyl cétone.
Mise à jour : 2021-06-30
Mise à jour : 2005-04-14
InflammabilitéLa méthyl isobutyl cétone est un liquide très inflammable. Elle s'enflamme facilement en présence de chaleur, d'une source d'ignition, d'une flamme nue ou d'une étincelle (incluant une décharge électrostatique). Les vapeurs de la méthyl isobutyl cétone sont plus lourdes que l'air et peuvent parcourir une grande distance vers une source d'ignition et provoquer un retour de flamme.
La méthyl isobutyl cétone peut aussi s'enflammer au contact d'agents oxydants forts. La réaction avec certains composés réducteurs peut être violente, causant un risque d'incendie.
ExplosibilitéLes vapeurs peuvent former un mélange explosif avec l'air, ainsi qu'avec certains oxydants forts.
Mise à jour : 2021-07-05
Moyens d'extinctionLe dioxyde de carbone (CO2) et les poudres chimiques sèches peuvent être utilisés pour éteindre les petits incendies. Pour les incendies plus importants, de la mousse antialcool doit être utilisée.
L'eau pulvérisée permet de diminuer l'intensité des flammes. Cependant, les jets d'eau peuvent favoriser la propagation de l'incendie.
Techniques spécialesPorter un appareil respiratoire autonome muni d'un masque facial complet et des vêtements protecteurs appropriés. Refroidir avec de l'eau les contenants exposés au feu.
Monoxyde de carbone et dioxyde de carbone.
Se référer à la méthode d'analyse 132-3 de l'IRSST.
Pour obtenir la description de cette méthode, consulter le Guide d'échantillonnage des contaminants de l'air en milieu de travail, ou le site Web de l'IRSST à l'adresse suivante :
http://www.irsst.qc.ca/-RSST108-10-1.html
Des tubes colorimétriques spécifiques pour la méthyl isobutyl cétone peuvent être utilisés pour une évaluation rapide du niveau d'exposition.
Paramètre biologique, indice biologique d'exposition et moment du prélèvement :
Facteurs à considérer lors de l'interprétation :
Autre indicateur d'exposition :
Pour obtenir plus de détails, consulter le Guide de surveillance biologique de l'IRSST - prélèvement et interprétation des résultats ou le site WEB de l'IRSST à l'adresse suivante: http://www.irsst.qc.ca/fr/_publicationirsst_336.html
La Loi sur la santé et la sécurité du travail vise l'élimination des dangers à la source. Lorsque des mesures d'ingénierie et les modifications de méthode de travail ne suffisent pas à réduire l'exposition à cette substance, le port d’équipement de protection individuelle peut s'avérer nécessaire. Ces équipements de protection doivent être conformes à la réglementation.
Voies respiratoiresPorter un appareil de protection respiratoire si la concentration dans le milieu de travail est supérieure à la VEMP (20 ppm) ou à la VECD (75 ppm).
PeauPorter un appareil de protection de la peau. La sélection d'un équipement de protection de la peau dépend de la nature du travail à effectuer.
YeuxPorter un appareil de protection des yeux s'il y a risque d'éclaboussures. La sélection d'un protecteur oculaire dépend de la nature du travail à effectuer et, s'il y a lieu, du type d'appareil de protection respiratoire utilisé.
Voies respiratoiresLes équipements de protection respiratoire doivent être choisis, ajustés, entretenus et inspectés conformément à la réglementation.NIOSH recommande les appareils de protection respiratoire suivants selon les concentrations dans l'air:
PeauLes équipements de protection de la peau doivent être conformes à la réglementation.
Les gants suivants sont recommandés :
YeuxLes équipements de protection des yeux et de la figure doivent être conformes à la réglementation.
Les protecteurs oculaires suivants sont recommandés :
StabilitéDans les conditions normales d'utilisation, la méthyl isobutyl cétone est un produit stable. Lorsqu'elle est chauffée, il y a possibilité de formation de peroxydes explosibles.
IncompatibilitéLa méthyl isobutyl cétone peut réagir violemment avec les oxydants forts (chlore, brome, peroxydes, nitrates, perchlorates, etc.) et les agents réducteurs.
Elle dissout ou rammolit plusieurs caoutchoucs ou matières plastiques.
Produits de décompositionUne décomposition thermique peut mener à un dégagement de monoxyde de carbone, de dioxyde de carbone, d'aldéhydes et d'acides carboxyliques de faible poids moléculaire.
La méthyl isobutyl cétone peut s'enflammer au contact du tert-butoxyde de potassium.
Mise à jour : 2015-04-09
L'onglet Réglementation informe des particularités règlementaires de ce produit dangereux. La manipulation doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tel que le RSST (notamment les sections VII et X), le RSSM et le CSTC.Pour en savoir plus.
Ce produit est très inflammable et ses vapeurs sont explosibles dans l'air : s'assurer d'une bonne ventilation pour éviter une accumulation de vapeurs en concentration explosive ou inflammable. Manipuler à l'écart de toute source de chaleur et d'ignition. Utiliser des outils anti-étincelles. L'appareillage doit être mis à la terre. Manipuler de façon sécuritaire selon les méthodes normalisées et conformes aux RSST, NFPA 30 et CNPI. Porter un équipement de protection des yeux. Éviter le contact avec la peau. Ventiler adéquatement sinon porter un appareil de protection respiratoire approprié.
L'onglet Réglementation informe des particularités règlementaires de ce produit dangereux. L'entreposage doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tel que le RSST (notamment les sections VII et X), le RSSM et le CSTC. Selon la situation, le chapitre Bâtiment du Code de sécurité et le CNPI peuvent également s'appliquer. Pour en savoir plus.
L'entreposage de ce liquide inflammable doit s'effectuer conformément au code des liquides inflammables et combustibles NFPA 30. Entreposer à l'écart de toute source de chaleur et d'ignition, dans un récipient hermétique placé dans un endroit frais, sec et bien ventilé, à l'abri des matières oxydantes et des agents réducteurs. Les contenants doivent être mis à la terre. La méthyl isobutyl cétone attaque (dissout ou ramollit) plusieurs caoutchoucs et matières plastiques; les contenants de ces types sont à éviter.
Porter des gants et des vêtements protecteurs appropriés, des lunettes de sécurité et, si nécessaire, un appareil de protection respiratoire adéquat. En cas de fuite ou de déversement, contenir la fuite si on peut le faire sans risque. Éliminer du site toute source d'ignition. Réduire la concentration des vapeurs en arrosant avec de l'eau pulvérisée. Empêcher l'infiltration dans les cours d’eau, les égouts et les endroits confinés. Absorber ou couvrir avec de la terre sèche, du sable ou tout autre produit non combustible et transférer dans des contenants hermétiques. Tout équipement utilisé pour manipuler ce produit doit être mis à la terre. Utiliser des outils antiétincelles propres pour récupérer le matériel absorbé.
Éliminer selon les dispositions prévues par les règlements municipaux, provinciaux et fédéraux. Si nécessaire, consulter le bureau régional du ministère de l'Environnement.
En milieu de travail, la méthyl isobutyl cétone (MIBC) est absorbée principalement par les voies respiratoires. Elle peut également être absorbée par la peau et les voies digestives.
Absorption
Distribution
Métabolisme
Excrétion
Demi-vie
Valeurs biologiques pour une population non exposée professionnellement :
Mise à jour : 2019-05-07
Ce produit peut causer une légère irritation de la peau et des yeux.
L'exposition aux vapeurs peut causer l'irritation des voies respiratoires supérieures (nez, gorge) à partir de 100 ppm et l'irritation des yeux à partir de 200 ppm.
Suite au contact répété ou prolongé, ce produit exerce une action dégraissante sur la peau. Il peut causer des rougeurs, de la desquamation et des fissurations.
L'inhalation de vapeurs de méthyl isobutyl cétone peut causer une dépression du système nerveux central se traduisant par des maux de tête, de la fatigue, des nausées, des vomissements et des vertiges. Une forte concentration de MIBC peut causer la mort en raison de ses effets narcotiques.
Une étude chez des volontaires exposés à des concentrations de 20 et 40 ppm pendant 7 heures rapporte que la MIBC peut causer une adaptation olfactive.
En cas d'ingestion, ce produit pourrait être aspiré et provoquer une atteinte pulmonaire
Une étude italienne, citée par l'ACGIH, mentionne le cas de 19 travailleurs exposés par inhalation (80 à 500 ppm pendant 20 à 30 min/8 h) et par contact cutané à de la MIBC. Des effets sur le système nerveux central (faiblesse, maux de tête, insomnie), sur le système gastro-intestinal (nausée, vomissement, colite) ainsi que sur le foie (hépatomégalie) ont été rapportés. Cependant, les travailleurs ont été exposés à d'autres contaminants.
Une autre étude rapporte le cas d'un travailleur, superviseur dans le secteur d'extraction aux solvants, exposé pendant six ans (8 h/j avec des épisodes de temps supplémentaire) à des concentrations ambiantes dépassant les 100 ppm en plus de son exposition cutanée. L'homme souffrait de maux de tête, d'anxiété, d'irritabilité, de pertes de concentration et de mémoire ainsi que d'une détérioration olfactive. Des tests neuropsychologiques effectués pendant les dix années suivant son exposition ont révélé une légère atrophie cérébrale diffuse ainsi qu'une diminution de la vascularisation des lobes frontaux. Durant cette période, il ne semble pas avoir été exposé à d'autres produits chimiques. Cependant, il a travaillé pendant 16 ans comme opérateur dans la récupération de solvants où il a été exposé de façon intermittente à plusieurs solvants tels que l'acétone, l'alcool isopropylique, la MIBC et l'éther isopropylique.
Ces études sont difficilement interprétables puisque les travailleurs ont été exposés à des mélanges de solvants donc, les effets rapportés ne peuvent pas être reliés spécifiquement à la MIBC.
Les effets hépatiques et les effets sur le système nerveux central semblent être corroborés par des études chez l'animal.
Aucune donnée concernant la sensibilisation respiratoire n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Une étude de sensibilisation cutanée (maximisation chez le cobaye (GPMT)) a donné des résultats négatifs.
PlacentaLa méthyl isobutyl cétone (MIBK) a été identifiée dans le sang de la mère et dans le cordon ombilical à la naissance ce qui indique un passage placentaire (Dowty et al., 1976).
Développement prénatal
Étude chez l'humainUne étude épidémiologique de Gray et al. (1993), citée dans Lamm et al. (1996), concernant l'incidence des avortements spontanés auprès de femmes ayant travaillées dans deux usines de fabrication de semi-conducteurs, n'a pas permis d'observer d'augmentation significative des avortements spontanés reliés à la méthyl isobutyl cétone. Les travailleuses ont été exposées simultanément à plusieurs produits chimiques, sans précision sur les doses d'exposition, ce qui ne permet pas de faire une évaluation adéquate.
Études chez l'animalTyl et al. (1987) ont effectué une étude par inhalation chez le rat et la souris (0, 300, 1 000 et 3 000 ppm; 6 h/j; jours 6 à 15 de la gestation). De la toxicité maternelle a été observée à 3 000 ppm chez le rat (diminution significative du poids corporel, du gain de poids et de la consommation de nourriture et augmentation significative du poids relatif des reins) et chez la souris (augmentation de la mortalité, augmentation significative du poids du foie). Chez les rats, un retard d'ossification significatif et une diminution significative du poids foetal par portée ont été observés à 3 000 ppm. Chez les souris, un retard d'ossification significatif, une diminution significative du poids foetal par portée et une augmentation significative de l'incidence de mortalité foetale ont été observés à la dose la plus élevée. Il n'y avait aucune augmentation significative de l'incidence de malformations externes, viscérales, squelettiques ou totales chez les deux espèces.
Nemec et al. (2004) ont fait une étude de toxicité de la reproduction sur deux générations chez des rats exposés par inhalation (0, 500, 1 000, 2 000 ppm; 6 h/j et 7 j/sem; exposition avant l’accouplement, pendant l’accouplement, la gestation et la lactation). Aucune mortalité et aucun signe clinique de toxicité n’ont été observés chez les parents. Cependant, une diminution temporaire de la réponse à un nouveau stimulus a été observée au cours de l’heure suivant l’exposition à 1 000 et 2 000 ppm. Une diminution du gain de poids et une légère diminution de la consommation de nourriture, associées à l'effet sédatif de la MIBK, ont été observées durant les 2 premières semaines d'exposition pour les 2 générations exposées à 2 000 ppm. Une augmentation du poids des reins a été observée chez les mâles des 2 générations à toutes les doses mais elle est reliée au syndrome de la gouttelette hyaline, une néphropathie spécifique aux rats mâles. D'autres effets significatifs ont été observés à 2 000 ppm chez les mâles des 2 générations (augmentation du poids du foie et de la vésicule séminale). Des effets significatifs ont également été observés chez les femelles à 2 000 ppm chez la première génération (augmentation du poids des ovaires et de la glande surrénale), chez la deuxième génération (diminution du poids de la rate) et chez les 2 générations (augmentation du poids du foie). L'augmentation du poids du foie chez les 2 sexes a été associée à une réponse physiologique adaptative. L’augmentation pondérale sans atteinte histologique des ovaires, des glandes surrénales et des vésicules séminales n’est pas reliée à l'expositon. Aucune atteinte spermatique et aucun effet sur certains paramètres de reproduction (poids des rejetons, nombre de rejetons vivants par portée, proportion de rejetons vivants) n'ont été observé. Les auteurs concluent que l'exposition à la MIBK n'affecte pas la reproduction.
Effets sur le système reproducteur
Dans une étude de toxicité subchronique (90 jours) d'Union Carbide Corporation (1983), aucune atteinte des testicules (histopathologique ou poids) chez le rat et la souris (inhalation; 0, 50, 250 et 1 000 ppm; 6 h/j; 5 j/sem pendant 14 semaines) n'a été rapportée. Une étude de Malyscheva (1988), résumée par l'IPCS (1990) et Cosmetic Ingredient Review Expert Panel (2004), faite sur des rats mâles exposés par une voie non usuelle ne permet pas de conclure à des effets sur le système reproducteur. L'étude rapporte des changements au niveau testiculaire mais n'inclut pas d'analyse statistique des résultats. Le nombre d'animaux et le degré de pureté de la méthyl isobutyl cétone ne sont pas mentionnés.
Mise à jour : 2012-06-14
Évaluation de la cancérogénicité par des organismes officiels
Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC, 2012) considère que la méthyl isobutyl cétone est peut-être cancérogène pour l'homme (groupe 2B).
L'ACGIH considère que la méthyl isobutyl cétone est cancérogène confirmé chez l'animal et que la transposition à l'humain est inconnue (groupe A3). Évaluation des autres aspects reliés à la cancérogénicitéLe test de transformation cellulaire effectué, avec ou sans activation métabolique (0 à 7 µl/ml), sur des cellules embryonnaires de souris n'a pas donné de résultats concluants (O' Donoghue et al., 1988).
Effet sur cellules somatiques
Études chez l'animalUn test de micronoyaux effectué chez la souris par une voie non usuelle en milieu de travail s'est avéré négatif (voie intrapéritonéale) (O'Donoghue et al., 1988). Études in vitroPlusieurs tests in vitro sur des cellules de mammifères (mutation génique, synthèse non programmée d'ADN, aberrations chromosomiques sur des hépatocytes de rat) ont donné des résultats négatifs (O'Donoghue et al., 1988; Brooks et al., 1988).
Les études chez l'humain ne montrent pas d'interaction entre la méthyl isobutyl cétone et d'autres solvants. Cependant, plusieurs études chez l'animal ont démontré des changements dans la toxicité de certains produits lorsqu'ils sont administrés avec la méthyl isobutyl cétone.
Humain
Animal
DL50
CL50
InhalationEn cas d’inhalation, amener la personne dans un endroit aéré. Appeler le Centre antipoison ou un médecin en cas de malaise. Si la personne ne respire pas, lui donner la respiration artificielle.Contact avec les yeuxRincer abondamment les yeux avec de l’eau pendant 5 minutes ou jusqu’à ce que le produit soit éliminé. Enlever les lentilles cornéennes s’il est possible de le faire facilement. Si l’irritation persiste, consulter un médecin.Contact avec la peauRetirer immédiatement les vêtements contaminés. Rincer la peau avec de l’eau. Mouiller abondamment les vêtements contaminés. IngestionNe PAS faire vomir car il y a danger d'aspiration pulmonaire. Rincer la bouche avec de l’eau. Appeler immédiatement le Centre antipoison ou un médecin.
Mise à jour : 2021-05-28
Danger
Liquide et vapeurs très inflammables (H225) Susceptible de provoquer le cancer (H351) Peut provoquer la somnolence ou des vertiges (H336)
Divulgation des ingrédients
Mise à jour : 2004-11-30
Classification
Numéro UN : UN1245
La cote entre [ ] provient de la banque Information SST du Centre de documentation de la CNESST.