Répertoire toxicologiqueRépertoire toxicologiqueFiche PMSD
CAS Number : 67-64-1
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Mise à jour : 2011-06-23
Mise à jour : 2022-08-04
Mise à jour : 2022-08-03
Placenta
L'acétone a été identifié dans le sang de la mère et dans le cordon ombilical à la naissance ce qui indique un passage placentaire.
Développement prénatal
Études chez l'humain Kucera (1968) a effectué une étude chez neuf enfants nés avec une agénésie du sacrum en Tchécoslovaquie de 1959 à 1966. Les mères de six d'entre eux ont été exposées à des produits chimiques, deux concernaient une exposition mixte impliquant l'acétone (acétone et trichloroéthylène, acétone et essence). L'exposition simultanée à d'autres solvants et le faible nombre de mères ne permettent pas de tirer une conclusion. Une étude du type cas-témoin a été effectuée par Holmberg (1977) en Finlande (registre finlandais des malformations congénitales) concernant des mères d'enfants nés avec une anomalie du système nerveux central. Deux des mères étaient employées dans l'industrie du plastique renforcé et ont été exposées à un mélange de substances incluant du styrène, des résines de polyester, des peroxydes organiques et de l'acétone. L'étude n'est pas concluante puisqu'elle implique une exposition combinée à plusieurs substances, de plus une des mères a reçu un traitement pharmacologique. Straub et Nelson (1978; citée dans Sullivan et al., 1993) ont effectué une étude des travailleurs (hommes et femmes), dans une usine de haut-parleurs, qui étaient exposés à des vapeurs organiques de solvants incluant de l'acétone (jusqu'à 120 ppm). Des troubles menstruels et des avortements spontanés (4/10) ont été rapportés sur une période de 6 mois. Sullivan et al. considèrent que l'étude n'est pas concluante (imprécision concernant la population étudiée et exposition combinée à plusieurs substances). Une étude a été faite par Tharr et al. (1982; citée dans Sullivan et al., 1993) dans une industrie de chaussures où il y avait une surexposition à plusieurs solvants incluant l'heptane, l'acétone (16 à 353 ppm), le toluène, l'acétate d'éthyle, la méthyl éthyl cétone et un naphta. Les auteurs n'ont pas mis en évidence d'augmentation des avortements spontanés (1/22). Sullivan et al. considèrent que l'étude n'est pas concluante (imprécision concernant la population étudiée, exposition combinée à plusieurs substances). Nizyayeva (1982; cité dans Sullivan et al., 1993 et ATSDR, 1994) a rapporté des problèmes durant la grossesse chez des travailleuses d'une manufacture russe de fibres d'acétate qui étaient exposées à environ 85 ppm d'acétone. Il a observé une diminution du poids et de la taille à la naissance qui pourraient être secondaires à des complications de la grossesse (toxicose, hémoglobinémie, hypotension). L'étude n'est pas concluante à cause d'imprécisions méthodologiques (nombre de femmes, âge, habitude tabagique et consommation d'alcool, poste de travail, méthode statistique). Une étude des issues de grossesse a été effectuée par Axelsson et al. (1984) auprès de femmes travaillant en laboratoire entre 1968 et 1979. Une augmentation non significative des fausses couches, l'absence de mortalité périnatale et l'absence de malformations ont été observées chez les femmes exposées à des solvants organiques (plus d'une douzaine de solvants incluant entre autres le chloroforme, l'éther diéthylique, le chlorure de méthylène, l'acétone, etc.). Le niveau d'exposition n'a pas été rapporté et il y avait une exposition mixte. Une étude rétrospective du type cas-témoin effectuée par Taskinen et al. (1994) concernant les issues de grossesse d'épouses d'hommes exposés à l'acétone ainsi qu'à divers solvants (le styrène, le toluène, le xylène, le tétrachloroéthylène, le trichloroéthylène et le trichloro-1,1,1 éthane, etc.) n'a pas permis de montrer d'effet concernant la fréquence des avortements spontanés ou des malformations congénitales. Une étude, dont seul le résumé est disponible, n'a pas montré d'augmentation significative de l'incidence de mortalité à la naissance ni de malformation chez les bébés de 17 mères exposées à l'acétone au premier trimestre de la grossesse principalement (McElhatton et al., 2006). Études chez l'animal Une étude par ingestion chez la souris (gavage; 3 500 mg/kg; jours 6 à 15 de la gestation) rapporte un diminution du nombre de portées viables, du pourcentage de survie et du poids corporel. Il s'agit d'une étude exploratoire qui n'a pas été conçue pour évaluer l'aspect tératogène (EHRT, 1987). Une étude par inhalation chez le rat (440, 2 200 et 11 000 ppm pendant 6 h/j; 7 j/sem.; jours 6 à 19 de la gestation ) et la souris (440, 2 200 et 6 600 ppm pendant 6 h/j; 7 j/sem.; jours 6 à 17 de la gestation) a été effectuée par le NTP (1988). Chez le rat, de la toxicité maternelle a été observée à 11 000 ppm (diminution significative du poids corporel et du poids de l'utérus, qui était également fonction de la concentration). Aucun effet sur le nombre d'implantations, le pourcentage de rejetons par portée, le pourcentage de rejetons vivants par portée, le rapport mâles-femelles et le pourcentage de résorptions n'a été observé. On n'a pas observé d'augmentation de l'incidence de variations foetales ou de retards d'ossification. Une augmentation des malformations a été observée à la plus forte dose, mais celle-ci n'était pas significative. Une légère diminution significative du poids des rejetons a été observée à la plus forte dose. Comme l'étude ne présente pas de données sur la consommation de nourriture, il est difficile de déterminer la cause de la diminution du poids corporel chez les mères et les rejetons. En ce qui concerne la souris, une diminution significative du poids du foie a été rapportée à 6 600 ppm chez la mère. Une légère augmentation du nombre de résorptions tardives et une légère diminution du poids corporel foetal, significatives, ont été notées à la plus forte dose. Aucun effet sur le nombre de foetus vivants par portée n'a été observé. Aucun effet significatif sur l'incidence de malformations ou de variations foetales n'a été rapporté.
Études chez l'humain
Kucera (1968) a effectué une étude chez neuf enfants nés avec une agénésie du sacrum en Tchécoslovaquie de 1959 à 1966. Les mères de six d'entre eux ont été exposées à des produits chimiques, deux concernaient une exposition mixte impliquant l'acétone (acétone et trichloroéthylène, acétone et essence). L'exposition simultanée à d'autres solvants et le faible nombre de mères ne permettent pas de tirer une conclusion.
Une étude du type cas-témoin a été effectuée par Holmberg (1977) en Finlande (registre finlandais des malformations congénitales) concernant des mères d'enfants nés avec une anomalie du système nerveux central. Deux des mères étaient employées dans l'industrie du plastique renforcé et ont été exposées à un mélange de substances incluant du styrène, des résines de polyester, des peroxydes organiques et de l'acétone. L'étude n'est pas concluante puisqu'elle implique une exposition combinée à plusieurs substances, de plus une des mères a reçu un traitement pharmacologique.
Straub et Nelson (1978; citée dans Sullivan et al., 1993) ont effectué une étude des travailleurs (hommes et femmes), dans une usine de haut-parleurs, qui étaient exposés à des vapeurs organiques de solvants incluant de l'acétone (jusqu'à 120 ppm). Des troubles menstruels et des avortements spontanés (4/10) ont été rapportés sur une période de 6 mois. Sullivan et al. considèrent que l'étude n'est pas concluante (imprécision concernant la population étudiée et exposition combinée à plusieurs substances).
Une étude a été faite par Tharr et al. (1982; citée dans Sullivan et al., 1993) dans une industrie de chaussures où il y avait une surexposition à plusieurs solvants incluant l'heptane, l'acétone (16 à 353 ppm), le toluène, l'acétate d'éthyle, la méthyl éthyl cétone et un naphta. Les auteurs n'ont pas mis en évidence d'augmentation des avortements spontanés (1/22). Sullivan et al. considèrent que l'étude n'est pas concluante (imprécision concernant la population étudiée, exposition combinée à plusieurs substances).
Nizyayeva (1982; cité dans Sullivan et al., 1993 et ATSDR, 1994) a rapporté des problèmes durant la grossesse chez des travailleuses d'une manufacture russe de fibres d'acétate qui étaient exposées à environ 85 ppm d'acétone. Il a observé une diminution du poids et de la taille à la naissance qui pourraient être secondaires à des complications de la grossesse (toxicose, hémoglobinémie, hypotension). L'étude n'est pas concluante à cause d'imprécisions méthodologiques (nombre de femmes, âge, habitude tabagique et consommation d'alcool, poste de travail, méthode statistique).
Une étude des issues de grossesse a été effectuée par Axelsson et al. (1984) auprès de femmes travaillant en laboratoire entre 1968 et 1979. Une augmentation non significative des fausses couches, l'absence de mortalité périnatale et l'absence de malformations ont été observées chez les femmes exposées à des solvants organiques (plus d'une douzaine de solvants incluant entre autres le chloroforme, l'éther diéthylique, le chlorure de méthylène, l'acétone, etc.). Le niveau d'exposition n'a pas été rapporté et il y avait une exposition mixte.
Une étude rétrospective du type cas-témoin effectuée par Taskinen et al. (1994) concernant les issues de grossesse d'épouses d'hommes exposés à l'acétone ainsi qu'à divers solvants (le styrène, le toluène, le xylène, le tétrachloroéthylène, le trichloroéthylène et le trichloro-1,1,1 éthane, etc.) n'a pas permis de montrer d'effet concernant la fréquence des avortements spontanés ou des malformations congénitales.
Une étude, dont seul le résumé est disponible, n'a pas montré d'augmentation significative de l'incidence de mortalité à la naissance ni de malformation chez les bébés de 17 mères exposées à l'acétone au premier trimestre de la grossesse principalement (McElhatton et al., 2006).
Études chez l'animal
Une étude par ingestion chez la souris (gavage; 3 500 mg/kg; jours 6 à 15 de la gestation) rapporte un diminution du nombre de portées viables, du pourcentage de survie et du poids corporel. Il s'agit d'une étude exploratoire qui n'a pas été conçue pour évaluer l'aspect tératogène (EHRT, 1987).
Une étude par inhalation chez le rat (440, 2 200 et 11 000 ppm pendant 6 h/j; 7 j/sem.; jours 6 à 19 de la gestation ) et la souris (440, 2 200 et 6 600 ppm pendant 6 h/j; 7 j/sem.; jours 6 à 17 de la gestation) a été effectuée par le NTP (1988).
Chez le rat, de la toxicité maternelle a été observée à 11 000 ppm (diminution significative du poids corporel et du poids de l'utérus, qui était également fonction de la concentration). Aucun effet sur le nombre d'implantations, le pourcentage de rejetons par portée, le pourcentage de rejetons vivants par portée, le rapport mâles-femelles et le pourcentage de résorptions n'a été observé. On n'a pas observé d'augmentation de l'incidence de variations foetales ou de retards d'ossification. Une augmentation des malformations a été observée à la plus forte dose, mais celle-ci n'était pas significative. Une légère diminution significative du poids des rejetons a été observée à la plus forte dose. Comme l'étude ne présente pas de données sur la consommation de nourriture, il est difficile de déterminer la cause de la diminution du poids corporel chez les mères et les rejetons.
En ce qui concerne la souris, une diminution significative du poids du foie a été rapportée à 6 600 ppm chez la mère. Une légère augmentation du nombre de résorptions tardives et une légère diminution du poids corporel foetal, significatives, ont été notées à la plus forte dose. Aucun effet sur le nombre de foetus vivants par portée n'a été observé. Aucun effet significatif sur l'incidence de malformations ou de variations foetales n'a été rapporté.
Effet sur le système reproducteur
Chez la femelle Dix femmes ont été exposées à l'acétone dans un environnement contrôlé (1 000 ppm; 1, 3 et 7,5 heures pendant 4 jours). Parmi ce groupe, 3 des 4 femmes exposées pendant 7,5 heures ont eu des troubles menstruels. Cette étude est insuffisante à cause du nombre limité de cas (Stewart et al., 1975 cité dans ATSDR, 1994). Chez l'animal, une étude sur le rat (eau de consommation; 2 500, 5 000, 10 000, 20 000 et 50 000 ppm; pendant 13 semaines) n'a pas permis d'observer de changement dans la cytologie vaginale malgré des signes apparents de toxicité systémique (Dietz et al., 1991). Chez le mâle Des anomalies spermatiques ont été observées chez des travailleurs de l'industrie du plastique renforcé. Toutefois, il y a des problèmes d'interprétation à cause de l'exposition simultanée au styrène et du choix du groupe de référence (Jelnes, 1988). Une étude chez le rat (0,50 % d'acétone dans l'eau de consommation pendant 8 semaines) n'a pas permis d'observer d'atteinte morphologique testiculaire, ni d'effet sur la fertilité (Larsen et al., 1991). Une seconde étude sur le rat (eau de consommation; 2 500, 5 000, 10 000, 20 000 et 50 000 ppm; pendant 13 semaines) a permis de mettre en évidence une atteinte du système reproducteur mâle (diminution de la motilité des spermatozoïdes, pourcentage de spermatozoïdes anormaux, diminution du poids absolu de l'épididyme) à 50 000 ppm en présence de signes de toxicité (Dietz et al., 1991).
Chez la femelle
Dix femmes ont été exposées à l'acétone dans un environnement contrôlé (1 000 ppm; 1, 3 et 7,5 heures pendant 4 jours). Parmi ce groupe, 3 des 4 femmes exposées pendant 7,5 heures ont eu des troubles menstruels. Cette étude est insuffisante à cause du nombre limité de cas (Stewart et al., 1975 cité dans ATSDR, 1994).
Chez l'animal, une étude sur le rat (eau de consommation; 2 500, 5 000, 10 000, 20 000 et 50 000 ppm; pendant 13 semaines) n'a pas permis d'observer de changement dans la cytologie vaginale malgré des signes apparents de toxicité systémique (Dietz et al., 1991).
Chez le mâle
Des anomalies spermatiques ont été observées chez des travailleurs de l'industrie du plastique renforcé. Toutefois, il y a des problèmes d'interprétation à cause de l'exposition simultanée au styrène et du choix du groupe de référence (Jelnes, 1988).
Une étude chez le rat (0,50 % d'acétone dans l'eau de consommation pendant 8 semaines) n'a pas permis d'observer d'atteinte morphologique testiculaire, ni d'effet sur la fertilité (Larsen et al., 1991).
Une seconde étude sur le rat (eau de consommation; 2 500, 5 000, 10 000, 20 000 et 50 000 ppm; pendant 13 semaines) a permis de mettre en évidence une atteinte du système reproducteur mâle (diminution de la motilité des spermatozoïdes, pourcentage de spermatozoïdes anormaux, diminution du poids absolu de l'épididyme) à 50 000 ppm en présence de signes de toxicité (Dietz et al., 1991).
Effet sur la fertilité
Une étude par ingestion chez la souris (gavage; 3 500 mg/kg; jours 6 à 15 de la gestation) rapporte une diminution significative de l'indice de reproduction (nombre de femelles produisant des portées viables/nombre de femelles vivantes ayant eu une gestation). Il s'agit cependant d'une étude exploratoire qui n'a pas été conçue pour évaluer les effets sur la reproduction (EHRT, 1987).
Une étude chez le rat mâle (eau de consommation; 0,50 % pendant 6 semaines) n'a pas permis d'observer d'effet sur la fertilité, cependant une seule dose a été étudiée (Larsen et al., 1991).
Une étude chez des travailleuses de l'industrie de la chaussure a montré une diminution de la fertilité. Il est cependant impossible de tirer de conclusions car les travailleuses étaient exposées simultanément à plusieurs solvants dont le toluène, la méthyl éthyl cétone et le dichlorométhane (Sallmén et al., 2008).
L'acétone a été identifié dans le lait chez l'humain. Toutefois, il n'y a aucune précision concernant la source endogène ou exogène d'acétone.
Effets cancérogènes
L'ACGIH considère que l'acétone ne peut être classé comme cancérogène chez l'humain (A4).
Études chez l'humainLors d'une étude rétrospective de mortalité concernant des employés (697 hommes et 251 femmes) d'une industrie de fibre de cellulose qui utilisait l'acétone comme unique solvant (380, 770 et 1 070 ppm; exposition de 3 mois à 23 ans), aucun excès de mortalité, incluant les néoplasmes malins, n'a été observé. Études chez l'animalIl n'y a aucune étude concernant la cancérogénicité de l'acétone par voie orale ou par inhalation chez l'animal. Cependant, l'acétone a été utilisée comme « véhicule et contrôle négatif » dans plusieurs études d'exposition par application cutanée chez la souris. Parmi celles-ci, une étude concernant l'analyse histopathologique de la peau (lors d'une exposition de 100 semaines) n'a pas permis d'observer de lésions néoplasiques associées à l'acétone.
Études chez l'humainLors d'une étude rétrospective de mortalité concernant des employés (697 hommes et 251 femmes) d'une industrie de fibre de cellulose qui utilisait l'acétone comme unique solvant (380, 770 et 1 070 ppm; exposition de 3 mois à 23 ans), aucun excès de mortalité, incluant les néoplasmes malins, n'a été observé.
Études chez l'animalIl n'y a aucune étude concernant la cancérogénicité de l'acétone par voie orale ou par inhalation chez l'animal. Cependant, l'acétone a été utilisée comme « véhicule et contrôle négatif » dans plusieurs études d'exposition par application cutanée chez la souris. Parmi celles-ci, une étude concernant l'analyse histopathologique de la peau (lors d'une exposition de 100 semaines) n'a pas permis d'observer de lésions néoplasiques associées à l'acétone.
Évaluation des autres aspects reliés à la cancérogénicité
L'effet de l'acétone s'est avéré négatif lors de tests d'initiation ou de promotion de tumeurs. Un test de transformation cellulaire sur des cellules embryoniques de hamster syrien a donné des résultats négatifs.
À cause de ses propriétés comme solvant et de son absence d'effet génotoxique, l'acétone est souvent utilisée comme solvant pour tester diverses substances et comme contrôle dans ces mêmes tests.
Études in vivo
Il n'y a aucune donnée chez l'humain. Le test du micronoyau s'est avéré négatif par voie orale dans les érythrocytes de souris (eau de consommation; 5 à 20 g/L pendant 13 semaines). D'autres tests réalisés par une voie non usuelle en milieu de travail (injection intrapéritonéale) ont donné des résultats négatifs.
Études in vitro
Plusieurs tests (aberrations chromosomiques, échange de chromatides soeurs, mutation, transformation cellulaire) effectués sur des cellules humaines ou animales (hamster chinois et syrien, rat, souris) se sont révélés négatifs.
La cote entre [ ] provient de la banque Information SST du Centre de documentation de la CNESST.