Répertoire toxicologiqueRépertoire toxicologiqueFiche complète
CAS Number : 109-86-4
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Formule moléculaire brute : C3H8O2
Noms français :
Noms anglais :
Ce composé est principalement utilisé en tant que solvant pour l'acétate de cellulose, certaines résines synthétiques et naturelles, ainsi que dans le processus de teinture du cuir. Il est employé en tant qu'additif dans les vernis et les émaux, jouant un rôle d'additif antigel dans les carburants d'avion et les solutions de dégivrage. De plus, il agit comme fixateur lors du scellement de la cellophane.
Il est également présent dans les cosmétiques synthétiques ou produits de consommation tels que:
Mise à jour : 2024-05-02
L'éther monométhylique de l'éthylène glycol est un liquide incolore. Il dégage une odeur éthérée (faible).
En milieu de travail, l'exposition à l'éther monométhylique de l'éthylène glycol se fait par les vapeurs ou par contact avec le liquide.
Exposition aux vapeurs
L'odeur de l'éther monométhylique de l'éthylène peut être détectée à partir de 0.096 ppm. Cette valeur est sensiblement la même que la valeur d'exposition moyenne pondérée (VEMP = 0.1 ppm,). L'odeur pourrait donc être un signe d'avertissement à une exposition potentiellement dangereuse. Cependant, elle ne demeure qu'un indicateur de danger. Seule l'utilisation d'un instrument de mesure permet d'identifier le produit et d'en quantifier la concentration. En effet, la perception des odeurs demeure une donnée variable selon l'individu. Il a été démontré que plusieurs facteurs influencent la réponse olfactive chez l'homme, tels que l'état de vigilance, l'accoutumance, les conditions de température et d'humidité et les effets de masque par d'autres substances. L'éther monométhylique de l'éthylène a une faible volatilité (tension de vapeur = 6,2 mm de Hg à 20 °C, environ 2,8 fois inférieure à celle de l'eau), donc il s'évapore lentement. Cependant, sa concentration à saturation est de 8 157 ppm à 20 °C. Elle est 81570 fois supérieure à la VEMP (0.1 ppm). En conséquence, lors d'une fuite ou d'un déversement, la concentration en vapeur de l'éther monométhylique de l'éthylène dans l'air risque de dépasser la VEMP.
Exposition au liquide
À cause de sa faible volatilité, l'éther monométhylique de l'éthylène peut rester longtemps sur une surface. En cas de contact avec le liquide, ce produit est absorbé par la peau mais il n'est pas irritant. En raison de sa miscibilité à l'eau, un rinçage à l'eau devrait permettre l'élimination du produit.
Mise à jour : 2024-01-15
InflammabilitéLe liquide et les vapeurs de l'éther monométhylique de l'éthylène glycolsont inflammables. Le produit peut s'enflammer en présence d'une source d'inflammation, telles que surface chaude, flamme nue, étincelle ou chaleur. Les vapeurs en l'absence de ventilation adéquate peuvent s'accumuler ce qui peut générer un risque d'atteindre la LIE. Elles peuvent parcourir une distance considérable jusqu'à une source d'ignition.
ExplosibilitéPeut exploser au contact des oxydants forts.Peut exploser si ses vapeurs sont en mélange avec l'air.
Moyens d'extinctionDioxyde de carbone, mousse, poudre chimique sèche, eau pulvérisée, mousse d'alcool
Informations supplémentaires: Ne pas utiliser de jets d'eau puissants à cause des risques de propagation de l'incendie.
Techniques spécialesPorter un appareil respiratoire autonome et des vêtements protecteurs appropriés. Refroidir les contenants exposés à l'aide d'eau pulvérisée. Combattre le feu à distance.
Monoxyde de carbone, dioxyde de carbone.
Mise à jour : 2024-02-23
Se référer à la méthode d'analyse 138-3 de l'IRSST.
Pour obtenir la description de cette méthode, consulter le «Guide d'échantillonnage des contaminants de l'air en milieu de travail» ou le site Web de l'IRSST à l'adresse suivante:
Éther monométhylique de l'éthylène glycol (irsst.qc.ca)
Paramètre biologique et moment de prélèvement:
Autres indicateurs d'exposition:
Facteurs à considérer lors de l'interprétation:
Pour obtenir plus de détails, consulter le «Documentation of the threshold limit values and biological exposure indices de l'ACGIH».
La Loi sur la santé et la sécurité du travail vise l'élimination des dangers à la source. Lorsque des mesures d'ingénierie et les modifications de méthode de travail ne suffisent pas à réduire l'exposition à cette substance, le port d’équipement de protection individuelle peut s'avérer nécessaire. Ces équipements de protection doivent être conformes à la réglementation.
Voies respiratoiresPorter un appareil de protection respiratoire si la concentration dans le milieu de travail est supérieure à la VEMP de 0.1 ppm.
PeauPorter un appareil de protection de la peau. La sélection d'un équipement de protection de la peau dépend de la nature du travail à effectuer.
YeuxPorter un appareil de protection des yeux s'il y a risque d'éclaboussures. La sélection d'un protecteur oculaire dépend de la nature du travail à effectuer et, s'il y a lieu, du type d'appareil de protection respiratoire utilisé.
Les équipements de protection respiratoire doivent être choisis, ajustés, entretenus et inspectés conformément à la réglementation.NIOSH recommande les appareils de protection respiratoire suivants selon les concentrations dans l'air :
StabilitéCe produit est stable dans les conditions normales d'utilisation (température et pression ambiantes).
IncompatibilitéCe produit est incompatible avec ces substances: avec les agents oxydants forts (ex: perchlorates, peroxydes, permanganates, chlorates et nitrates), il peut causer un incendie ou une explosions. Avec les produits caustiques, il peut se décomposer.
Produits de décompositionDécomposition thermique: oxydes de carbone.
L'onglet Réglementation informe des particularités règlementaires de ce produit dangereux. La manipulation doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tel que le RSST (notamment les sections VII et X), le RSSM et le CSTC.Pour en savoir plus.
Ce produit est inflammable : l'appareillage doit être mis à la terre lors des opérations de transvasement . Manipuler à l'écart des sources d'ignition, des flammes nues et des étincelles. Lors de son utilisation, éviter la formation de vapeurs ou de brouillards. Utiliser des outils qui ne provoqueront pas d'étincelles. En cas de ventilation insuffisante, porter un appareil de protection respiratoire approprié. Ne pas manger ou boire pendant la manipulation du produit. Éviter le contact avec les yeux et le contact prolongé ou répété avec la peau. Manipuler de façon sécuritaire selon les méthodes normalisées et conformes avec le RSST, le NFPA-30 et le CNPI au besoin.
L'onglet Réglementation informe des particularités règlementaires de ce produit dangereux. L'entreposage doit être conforme aux dispositions de la LSST et de ses règlements, tel que le RSST (notamment les sections VII et X), le RSSM et le CSTC.. Selon la situation, le chapitre Bâtiment du Code de sécurité et le CNPI peuvent également s'appliquer. Pour en savoir plus.
Entreposer à l'écart de toute source de chaleur et d'ignition, dans un récipient hermétique placé dans un endroit frais, sec et bien ventilé, à l'abri des matières incompatibles telles que les matières oxydantes. Entreposer selon les normes prescrites pour l'entreposage des liquides inflammables : NFPA-30, RSST et CNPI. Si l'entreposage s'effectue avec d'autres substances dangereuses, se référer aux normes d'entreposage et au tableau de ségrégation du CNPI. Les contenants doivent être mis à la terre.
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Ne pas déverser les résidus dans les égouts et ne pas jeter aux ordures les absorbants contaminés à ce produit. Ce dernier peut être recyclé par des firmes spécialisées. Si nécessaire, consulter le bureau régional du ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs.
Mise à jour : 2019-04-05
Ce produit est absorbé par les voies respiratoires, la peau et les voies digestives.
Ce produit n'est pas irritant pour la peau, il peut causer l'irritation des yeux et des voies respiratoires supérieures.
L'exposition d'animaux à des concentrations élevées du produit peut causer des dommages rénaux, hépatiques et pulmonaires.
Deux travailleurs exposés de façon répétée à l'éther monométhylique de l'éthylène glycol (EGME) ont rapporté des troubles du système nerveux central et de l'anémie. Selon les auteurs, l'absorption du produit s'est effectuée principalement de façon percutanée puisque la concentration de vapeur était limitée à 8 ppm. Un autre cas d'anémie a été rapporté chez un travailleur exposé à 35 ppm de vapeurs du produit durant plus d'un an.
Une étude (Shih, 2003) s'intéressant aux effets hématologiques du produit a fait un lien entre l'anémie et l'exposition à l'EGME. En effet, 42 % des travailleurs (10/24) exposés au produit et 3 % (2/67) des contrôles avaient des paramètres sanguins typiques de l'anémie. La concentration hebdomadaire moyenne d'EGME lors de la prise des échantillons sanguins était, respectivement, d'environ 35 ppm et 0,19 ppm pour les travailleurs exposés et contrôles. Une diminution de la concentration d'EGME à 0,55 ppm dans l'environnement des travailleurs exposés a permis d'obtenir des paramètres sanguins normaux après 3 mois.
L'inhalation, l'ingestion ou l'absorption percutanée du produit par des animaux peut causer l'anémie et la leucopénie. La moelle osseuse, la rate, le thymus et les poumons des animaux peuvent aussi être affectés.
Aucune donnée concernant la sensibilisation respiratoire n'a été trouvée dans les sources documentaires consultées.
Un test de sensibilisation cutanée chez le cobaye a donné des résultats négatifs.
PlacentaLa concentration d'acide méthoxyacétique, un métabolite de l'éther monométhylique de l'éthylène glycol, dans les tissus du conceptus est similaire à sa concentration dans le plasma maternel.
Développement prénatal
Études chez l'humainEl-Zein et al (2002) ont étudié 41 bébés nées de 28 femmes exposées professionnellement au produit. Six de ces enfants ont été exposés au produit in utero alors que leurs mères ont continué de travailler durant leur grossesse et étaient à risque d'absorber le produit par voies respiratoire et cutanée. Tous les enfants exposés in utero présentent des aspects dysmorphiques qui sont absents chez les 35 autres enfants. Les enfants exposés possèdent aussi plus fréquemment un palais ogival (4/6) que les enfants non exposés (2/35). Études chez l'animalHanley et al. (1984) ont exposé des lapins (0, 3, 10, 50 ppm; 6h / jour; J8 à J18 de gestation), des rats (0, 3, 10, 50 ppm; 6h / jour; J8 à J15) et des souris (0, 10, 50 ppm; 6h / jour; J8 à J15) aux vapeurs d'éther monométhylique de l'éthylène glycol durant leur gestation. La concentration de 50 ppm chez le lapin a causé une augmentation de l'incidence des malformations (cardiovasculaires, urogénitales et squelettiques), du taux de résorption et une baisse du poids foetal. Chez le rat et la souris, les effets de l'exposition à 50 ppm se limitent à des malformations squelettiques. Cette dose de 50 ppm cause une toxicité maternelle limitée : diminution transitoire de la prise de poids chez les trois espèces et augmentation du poids absolu du foie chez le lapin. Une étude (Nagano et al. 1984) a exposé des souris à des doses variant entre 31.25 et 1000 mg/kg/jour entre les jours 7 et 14 de la gestation. Des malformations squelettiques sont visibles à des concentrations de 62.5 mg/kg/jour et leurs fréquences augmentent en rapport avec les doses du produit. La létalité embryonnaire est présente à une concentration de 250 mg/kg/jour et totale à la plus forte dose. Nelson et al. (1989) ont exposé des rats à des doses variant entre 16 et 620 mg/kg/jour entre les jours 7 et 18 de la gestation. Des malformations cardiaques et squelettiques sont visibles à des concentrations de 31 mg/kg/jour et la létalité embryonnaire est totale à une concentration supérieure à 73 mg/kg/jour.
Études chez l'humainEl-Zein et al (2002) ont étudié 41 bébés nées de 28 femmes exposées professionnellement au produit. Six de ces enfants ont été exposés au produit in utero alors que leurs mères ont continué de travailler durant leur grossesse et étaient à risque d'absorber le produit par voies respiratoire et cutanée. Tous les enfants exposés in utero présentent des aspects dysmorphiques qui sont absents chez les 35 autres enfants. Les enfants exposés possèdent aussi plus fréquemment un palais ogival (4/6) que les enfants non exposés (2/35).
Études chez l'animalHanley et al. (1984) ont exposé des lapins (0, 3, 10, 50 ppm; 6h / jour; J8 à J18 de gestation), des rats (0, 3, 10, 50 ppm; 6h / jour; J8 à J15) et des souris (0, 10, 50 ppm; 6h / jour; J8 à J15) aux vapeurs d'éther monométhylique de l'éthylène glycol durant leur gestation. La concentration de 50 ppm chez le lapin a causé une augmentation de l'incidence des malformations (cardiovasculaires, urogénitales et squelettiques), du taux de résorption et une baisse du poids foetal. Chez le rat et la souris, les effets de l'exposition à 50 ppm se limitent à des malformations squelettiques. Cette dose de 50 ppm cause une toxicité maternelle limitée : diminution transitoire de la prise de poids chez les trois espèces et augmentation du poids absolu du foie chez le lapin.
Une étude (Nagano et al. 1984) a exposé des souris à des doses variant entre 31.25 et 1000 mg/kg/jour entre les jours 7 et 14 de la gestation. Des malformations squelettiques sont visibles à des concentrations de 62.5 mg/kg/jour et leurs fréquences augmentent en rapport avec les doses du produit. La létalité embryonnaire est présente à une concentration de 250 mg/kg/jour et totale à la plus forte dose.
Nelson et al. (1989) ont exposé des rats à des doses variant entre 16 et 620 mg/kg/jour entre les jours 7 et 18 de la gestation. Des malformations cardiaques et squelettiques sont visibles à des concentrations de 31 mg/kg/jour et la létalité embryonnaire est totale à une concentration supérieure à 73 mg/kg/jour.
Effets sur le système reproducteur
Études chez le mâlePlusieurs études ont associé l'infertilité masculine et une diminution de la concentration de spermatozoïdes à l'exposition professionnelle d'hommes travaillant avec des mélanges d'éther monométhylique de l'éthylène glycol et d'éther monoéthylique de l'éthylène glycol. Une étude (Rao 1983) de croisement entre des rats traités (30, 100 ou 300 ppm; 6h/jour; 5j/semaines) ou non traités a montré que le traitement à 300 ppm des mâles cause une sévère diminution de la fertilité alors que cette dose est sans effet sur la fertilité des femelles. Chapin et al. (1985) ont mis en évidence des variations significatives de la morphologie des spermatozoïdes des rats mâles exposés à 100 et 200 mg/kg/jour. Feuston et al. (1989) ont étudié l'effet de l'absorption cutanée du produit sur le système reproducteur du rat. Ils ont observé une diminution dose-dépendante de la concentration et de la production de spermatozoïdes. De plus, la morphologie de ces spermatozoïdes était plus fréquemment anormale. Finalement, une baisse du poids des testicules et de l'épididyme accompagnée d'une faible fertilité a été associée à l'exposition des mâles au produit. Une étude de fécondation in vitro (Holloway 1990) utilisant le sperme de rats exposés à 50, 100 et 200 mg/kg/jour a démontré une diminution de la fertilité des animaux exposés au produit. Cette baisse de fertilité est associée à des lésions testiculaires. Une étude de reproduction sur deux générations chez le rat (Gulati et al. 2010; doses de 0,006 % à 0,1 %; par voie orale; pour toute la durée de gestation), a mis en évidence une diminution du nombre de ratons viables à la naissance aux plus fortes doses utilisées. Le poids des testicules, de l'épididyme, de la prostate et des reins des rats mâles de la génération F0 et ceux de la génération F1 ont également diminué à la suite de l'exposition aux doses de 0,1% et 0.03% respectivement.
Études chez le mâlePlusieurs études ont associé l'infertilité masculine et une diminution de la concentration de spermatozoïdes à l'exposition professionnelle d'hommes travaillant avec des mélanges d'éther monométhylique de l'éthylène glycol et d'éther monoéthylique de l'éthylène glycol.
Une étude (Rao 1983) de croisement entre des rats traités (30, 100 ou 300 ppm; 6h/jour; 5j/semaines) ou non traités a montré que le traitement à 300 ppm des mâles cause une sévère diminution de la fertilité alors que cette dose est sans effet sur la fertilité des femelles.
Chapin et al. (1985) ont mis en évidence des variations significatives de la morphologie des spermatozoïdes des rats mâles exposés à 100 et 200 mg/kg/jour.
Feuston et al. (1989) ont étudié l'effet de l'absorption cutanée du produit sur le système reproducteur du rat. Ils ont observé une diminution dose-dépendante de la concentration et de la production de spermatozoïdes. De plus, la morphologie de ces spermatozoïdes était plus fréquemment anormale. Finalement, une baisse du poids des testicules et de l'épididyme accompagnée d'une faible fertilité a été associée à l'exposition des mâles au produit.
Une étude de fécondation in vitro (Holloway 1990) utilisant le sperme de rats exposés à 50, 100 et 200 mg/kg/jour a démontré une diminution de la fertilité des animaux exposés au produit. Cette baisse de fertilité est associée à des lésions testiculaires.
Une étude de reproduction sur deux générations chez le rat (Gulati et al. 2010; doses de 0,006 % à 0,1 %; par voie orale; pour toute la durée de gestation), a mis en évidence une diminution du nombre de ratons viables à la naissance aux plus fortes doses utilisées. Le poids des testicules, de l'épididyme, de la prostate et des reins des rats mâles de la génération F0 et ceux de la génération F1 ont également diminué à la suite de l'exposition aux doses de 0,1% et 0.03% respectivement.
Effets sur la fertilitéUne étude (Dodo et al. 2009) exposant des rats femelles (0, 30, 100 et 300 mg/kg/jour; pour une période de 2 à 4 semaines) suggère qu'une dose de 100 mg/kg/jour pour deux semaines bloque l'ovulation.
Mise à jour : 1997-01-14
DL50
CL50
InhalationAppeler le Centre antipoison ou un médecin en cas de malaise. Amener la personne dans un endroit aéré. Si la personne ne respire pas, lui donner la respiration artificielle. Éviter de donner la respiration bouche à bouche à moins d’utiliser un dispositif de protection buccale (à cause du danger de contamination pour la personne qui administre les premiers secours).
Contact avec les yeuxRincer abondamment les yeux avec de l’eau pendant 5 minutes ou jusqu’à ce que le produit soit éliminé. Enlever les lentilles cornéennes s’il est possible de le faire facilement. Si l’irritation persiste, consulter un médecin.
Contact avec la peauRetirer immédiatement les vêtements contaminés. Rincer la peau pendant 5 minutes. Mouiller abondamment les vêtements contaminés. Appeler le Centre antipoison ou un médecin en cas de malaise.
IngestionRincer la bouche avec de l’eau. Appeler le Centre antipoison ou un médecin en cas de malaise.
Danger
Liquide et vapeurs inflammables (H226) Nocif par contact cutané (H312) Toxique par inhalation (H331) Peut nuire à la fertilité ou au foetus (H360) Risque avéré d’effets graves pour les organes à la suite d’expositions répétées ou d’une exposition prolongée (H372)
Divulgation des ingrédients
Mise à jour : 2004-11-30
Classification
Numéro UN : UN1188
Autres sources d'information
La cote entre [ ] provient de la banque Information SST du Centre de documentation de la CNESST.